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Il est totalement scandaleux qu’une entreprise florissante, valeur phare du CAC 40 et située au 3ème rang mondial du secteur pharmaceutique, envisage une saignée dans ses effectifs pour rémunérer toujours plus des actionnaires dont les dividendes ont déjà plus que doublé ces sept dernières années.
Les fermetures annoncées à Toulouse et ailleurs en France traduisent une nouvelle fois l’emprise de la finance sur des politiques industrielles qui sont conduites sans vision de long terme. Dans le cas de Sanofi, il s’agit de privilégier la commercialisation de médicaments « blockbusters » très rentables mais à l’intérêt thérapeutique parfois douteux, quitte à sacrifier sur l’autel du profit immédiat la recherche sur des molécules à même de répondre à de véritables enjeux de santé publique. Face à cette logique, nous rappelons que la santé est un bien commun et non une marchandise.
Par ailleurs, le laboratoire aujourd’hui menacé de fermeture a bénéficié d’aides publiques conséquentes pour s’implanter sur l’Oncopôle. Dans de telles circonstances, l’instauration de l’éco-conditionnalité de ces aides (qui subordonne le soutien public au respect de normes sociales et environnementales) s’avère plus nécessaire que jamais pour mener à bien la transition écologique de l’économie.
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