La charte de bonne conduite qui doit permettre de limiter la puissance des ondes électromagnétique émises au-dessus de Toulouse, pourrait être signée au cours du premier trimestre 2010. Mais le projet initial des associations de réduire le volume des émissions à 0,6 V/M annoncé lors du lancement de là négociation le 6 juillet dernier a dû être revu à la baisse. Lorsqu’ils se retrouveront pour la troisième fois le 16 décembre, les associations de riverains, le Capitale et les trois opérateurs, SFR, Bouygues et Orange devraient tomber d’accord sur la mise en place d’une première phase d’expérimentation transitoire. Face au refus unanime des trois opérateurs de signer un texte qui graverait dans le marbre la fameuse norme plafond des 0,6V/M, les riverains ont accepté de transiger. Lors des prochaines discussions, ils devraient présenter une liste de 30 points noirs ou les émissions d’ondes électromagnétiques sont supposées dépasser les 0,6 V/M. De leur côté « les opérateurs se sont engagés à financer les études sur ces points d’impact sans avoir connaissance ni de l’heure ni du jour des contrôles », explique-t-on dans l’entourage de Pierre Cohen.
Ce n’est que sur la base des résultats de ces mesures qu’Orange, Bouygues et SFR, réfléchiront aux méthodes susceptibles de ramener le niveau des émissions critiques dans une fourchette proche des 0,6 V/M. qui deviendraient alors une valeur de référence, mais pas une norme imposée.
S’ils parviennent à un accord le 16 décembre, les trois parties pourraient se donner jusqu’à la fin du premier semestre 2010 pour voir combien de points noirs peuvent être réduits dans l’année. Mais pour le Capitale qui intervient en arbitre entre les riverains et les opérateurs, « cette expérimentation, même si elle n’est pas terminée dans l’année aura déjà eu le mérite de démontrer que dans tous les cas, les téléphones mobiles peuvent fonctionner avec des émissions proches ou égales à 06 V/M. ».
B. Dv.
238 candidates, 20 élues
À l’instar de Toulouse, 238 villes françaises ont sauté sur l’occasion offerte par le Grenelle dés ondes pour se porter candidate pour l’expérience grandeur nature visant à li miter à 0,6V/M. le volume dés émissions électromagnétiques sur leur territoire. Mais cette expérimentation, qui est indépendante des négociations actuellement en cours à Toulouse, devrait faire beaucoup de déçus car seules une vingtaine de villes seront sélectionnées décembre.
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