Yasmina, étudiante en 1re année de BTS, a fait toute sa scolarité au lycée Déodat de Séverac de Toulouse. Elle était hébergée par sa sœur, qui l’a adoptée légalement.
A sa majorité, le préfet a signé un arrêté de reconduite à la frontière. Elle ne s’était jamais cachée, et avait déposé des dossiers de régularisation. C’est aujourd’hui que Yasmina se cache, car la police a cherché à l’arrêter. Mais elle continue de venir au lycée suivre ses cours, malgré les risques encourus.
Les recours administratifs étant épuisés, Yasmina est aujourd’hui une algérienne, majeure et sans papiers, coupable d’avoir voulu étudier en France. Le travail de ses enseignants et son projet de vie risquent d’être réduits à néant.
Les Verts dénoncent une nouvelle fois l’expulsion de jeunes scolarisés en France, qui doivent pouvoir, à leur majorité, terminer les études qu’ils ont entamées. C’est une question d’humanité (au pays des droits de l’Homme) et de bon sens.
Ils s’associent pleinement au comité de soutien à Yasmina mis en place par ses professeur(e)s et camarades du Lycée Déodat de Séverac, pour demander l’abrogation de l’arrêté de reconduite à la frontière.
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