J’attendais avec impatience la visite qui s’est déroulée hier à Toulouse-Braqueville.* Elle a pleinement démontré - si besoin était – le caractère remarquable de ce site, où je continue de déplorer l’existence de ballastières de nitrocellulose.
Ces 30 hectares classés Natura 2000 abritent en effet un patrimoine sauvage de premier plan. La Délégation générale de l’armement évoque la complexité liée à la réhabilitation de ce site… cette dernière ne devra en aucun cas servir de justification à un maintien des lieux en l’état. Je considère pour ma part que quelle qu’en soit la difficulté, il appartient au pollueur de réhabiliter. Parce que le patrimoine naturel exceptionnel du site constitue une raison supplémentaire de le restituer aux Toulousains.
Je suis donc plus que jamais résolue à m’engager pour que soit mis fin à un feuilleton qui n’a que trop duré.
* A ce sujet, lire ici.
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