Depuis l’annonce de la fermeture de la base militaire, nous affirmons que l’évolution de ce site de 290 hectares nous offre l’opportunité de diversifier les activités économiques de notre agglomération, trop dépendantes d’une monoculture industrielle basée sur l’aéronautique.
Depuis le début de la reconversion, nous dénonçons l’opacité du processus qui a abouti au choix de la société Lavalin pour l’exploitation du site – un choix dont la pertinence n’est pas démontrée aujourd’hui au regard des arguments invoqués pour l’imposer.
Depuis l’annonce de la fermeture de la base militaire, nous en appelons à des projets plus imaginatifs et écologiques, en phase avec les enjeux de notre agglomération.
Le projet porté aujourd’hui par la société Raleigh, qui s’est matérialisé la semaine dernière avec la venue à Toulouse du patron des studios américains, pourrait être de ceux-là. Ses retombées s’annoncent intéressantes en termes d’emplois, comme pour l’image de notre région. Nous notons par ailleurs qu’il recueille une large adhésion parmi les acteurs du secteur comme parmi les riverains de Francazal.
Pour toutes ces raisons, nous considérons qu’il est temps pour l’Etat de revoir le scénario de la reconversion. De même qu’il est temps que le Grand Toulouse sorte de son attentisme, pour faire entendre sa voix sur le devenir d’un site implanté en plein coeur de notre agglomération.
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