Une fois de plus les guerres fratricides entre la Palestine et Israel amènent à des jugements en faveur des uns ou des autres.
Pour les pacifistes comme pour les Verts, les bons et les méchants n’ont pas de nationalité.
Il y a les démocrates, laïques en terme religieux, et fédéralistes en terme d’organisation territoriale, pour admettre que chacun peut se sentir attaché à la collectivité, culture, religion ou langue de son choix en reconnaissant le droit aux autres de se sentir différent, que cela soit sur le territoire voisin ou sur le même territoire.
Ce qu’il faut dénoncer, ce sont les impérialistes et les intégristes, voire les fascistes qu’ils soient du hamas ou militaristes palestiniens, qu’ils soient de la droite religieuse juive ou militaristes israéliens.
La douleur de ceux qui ont perdu des proches ou des biens est récupérée par la droite dure israelienne ou palestienne pour justifier des régimes répressifs, machistes, homophobes...et permissifs pour les trafiquants et les financiers marchands d’armes.
Il faut manifester pour la démocratie laique et fédérale partout au proche orient, en Egypte, Lybie, Syrie, Jordanie, Palestine et pour arrêter de financer l’occupation de la Palestine par Israel.
LES VERTS SOUTIENNENT ISRAELIENS ET PALESTINIENS CONTRE LA VIOLENCE
On m’a aussi indiqué qu’il existe des groupes anti-guerre sur place en Palestine/Israël. Un exemple à voir en cliquant sur ce lien.
Une analyse sur l’environnement
Il ne faut pas oublier non plus qu’il y a des conditions de vie qui font également violence aux humains. La densité de population à Gaza est la plus élevée au monde et les conditions de vie, d’infrastructures, d’approvisionnement sont catastrophiques, avec aucune perspective pour l’avenir.
La bande de Gaza, qui était encore un endroit bucolique et beau, avant la guerre des 6 jours, est devenu une poubelle à ciel ouvert.
Toute tentative de résolution du conflit ne peut se passer d’une amélioration forte des conditions de vie des habitants, de leur éducation, de la démocratie et de la qualité de leur environnement.
Cela nécessitera un effort de la part de tous les politiques dans la région, et des habitants et habitantes eux-mêmes, qui n’y sont pas prêt-e-s, même s’ils/elles disent le contraire.
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