Depuis la signature du document en janvier 2010, nous avons toujours dénoncé le caractère injuste et inefficace des mesures prévues. Injuste parce que ce PPRT planifiait l’expropriation des entreprises riveraines du site, pourtant plus pourvoyeuses d’emplois que le dépôt pétrolier d’Esso. Inefficace parce que le maintien d’un dépôt de 36000 m3 de liquides inflammables en plein périmètre urbain n’est pas compatible avec l’objectif d’assurer la sécurité.
Au-delà du PPRT d’Esso, dont nous suivrons avec attention l’évolution, nous considérons que la décision du tribunal administratif doit amener l’Etat à reconsidérer la prévention des risques industriels dans notre pays, de manière à éloigner les sites industriels à haut risque des zones urbanisées.
Nous rappelons qu’à Toulouse, cet enjeu ne porte pas que sur le site Esso, mais également sur un site comme la SME-Safran (ex SNPE), dont le PPRT est en cours d’élaboration…
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