Éduquer à l’environnement, c’est sensibiliser aux enjeux de l’écologie mais également donner les outils pour développer les attitudes éco-citoyennes. Parce que c’est le genre de choses qui ne s’apprend jamais trop tôt, les enfants représentant un public de choix. Ainsi, le projet « agir pour devenir un éco-citoyen » sensibilise de manière ludique les enfants des Clae à notre environnement, et cela par thème : l’année dernière, c’était l’eau et l’énergie, cette année la biodiversité. De même, les écoles primaires sont soutenues dans leurs démarches agenda 21 ou d’éco école. Et puisque l’éco-citoyenneté ne s’apprend jamais s’apprend trop tard non plus, des projets intergénérationnels se créent avec des personnes âgées, autour des arbres dans un quartier, par exemple. Pour toucher également les familles, des animations sur la biodiversité se dérouleront sur les bases de loisirs. La sensibilisation à l’environnement se fait ainsi en tous lieux et à tous âges, en partenariat avec les associations d’éducation à l’environnement soutenues par la municipalité, ou lors des festivals signataires de la Charte des évènements éco-responsables.

La municipalité a également un devoir d’exemplarité. C’est pourquoi le personnel municipal est formé aux gestes éco-citoyens, et des clauses environnementales sont introduites dans les marchés publics. L’éducation à l’environnement est donc une politique transversale, qui trouvera ainsi toute sa place dans l’Agenda 21 élaboré par le Grand Toulouse.

Antoine Maurice a également une délégation spéciale à l’économie solidaire à la communauté urbaine, qui s’ouvre dorénavant à cette autre manière d’entreprendre, en la développant. Le Grand Toulouse vient ainsi d’intégrer la SCIC (Société coopérative d’intérêt collectif) IéS (Initatives pour une économie solidaire), un symbole fort de son implication.