Cette compétence est transversale, puisque les eaux toulousaines sont tout à la fois axe de communication et source d’irrigation ainsi que d’eau potable. Et les acteurs de ces politiques sont tout aussi nombreux : Ville, Communauté urbaine, Agence de l’eau, État, Voies navigables de France et Bâtiments de France. Chacun défend au sein d’un comité de pilotage son légitime point de vue, qu’il s’agisse de propreté, d’économie, de commerce, de tourisme ou de valorisation culturelle, historique et environnementale des eaux.
Par ailleurs, Danielle Charles est, avec sa collègue Elisabeth Belaubre, élue en charge du secteur 6.5 de Lafourguette, un quartier situé en Zone franche urbaine et victime d’AZF. Elle y représente la Ville dans les écoles, et a favorisé la prochaine ouverture d’un marché de producteurs (il verra le jour le 29 mai), un projet qui avait émergé à la faveur de la mise en place de la démocratie locale dans les quartiers.
Et bien d’autres activités sont à son bilan : représentante de Toulouse au sein d’Amorce (association nationale des collectivités, des associations et des entreprises pour la gestion des déchets, de l’énergie et des réseaux de chaleur) et de l’Observatoire régional des déchets (Ordimip), ou des écoles du 6.5, elle est également en charge du réseau de chaleur de la ville et conseillère communautaire.
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