Nous nous associons à la satisfaction de celles et ceux qui estiment que les plus hauts responsables doivent aussi être soumis à jugement, dans le cadre de la plus grande catastrophe industrielle qu’ait connu la France. Car au-delà de sa filiale Grande Paroisse, c’est bien la politique industrielle d’une multinationale obsédée par la réduction des coûts, le recours à la sous-traitance et au travail intérimaire, qui doit être interrogée sur la place publique.
Nous saluons en particulier l’action de la mairie de Toulouse, qui s’est jointe aux parties civiles à l’origine de la demande de citation directe.
On peut donc espérer que des éléments à ce jour inconnus du dossier pourront émerger, nous permettant d’accomplir un pas de plus vers la vérité.
L’écoquartier de la Cartoucherie n’aura-t-il d’écolo que le nom ?
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