Les écologistes parisien-ne-s ont organisé un cour de Yoga gratuit sur la place du Châtelet à l’occasion de de la Journée sans voiture. Destiné à rappeler l’importance de la qualité de l’air pour notre santé et notre bien-être, ainsi que de la qualité de notre respiration, ce cours a rassemblé plus d’une centaine de personnes, touristes, promeneurs, militant-e-s  de l’écologie, venu profiter de ce moment de relaxation, de soleil, de bonne humeur.

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La pensée sociale du pape François
Samedi 19 septembre 2015
de 9h à 18h
au Centre Sèvres 35 bis, rue de Sèvres – 75006 Paris

Programme détaillé

Il est possible de s’y inscrire par mail  :  secretariat@ceras-projet.com

Les vendredis de la Teinturerie
Entre 19 heures 30 et 21 heures 30 au 24 rue de la Chine, Paris 20e, métro Gambetta
avec accueil dès 19 heures et pour la convivialité, des choses salées ou sucrées à grignoter et des boissons diverses, jus de fruits ou vins.

Cécile Duflot

à l’occasion de la parution du livre

Le grand virage

le vendredi 11 septembre à 19 h.

Libralire, 116, rue St Maur Paris 11e – Métro : Oberkampf ou Parmentier
Tel. : 01 47 00 90 93

avec :

Christian CIVILISE, secrétaire régional d’EELV en Guadeloupe, président de la commission nationale aux outre-mers d’Europe Écologie – Les Verts & secrétaire régional d’EELV en Guadeloupe, invite les Français/es d’outre-mers & leurs ami/e/s à un débat public sur «L’écologie politique,une chance pour les Français/es d’outre-mers», le 3 juillet à Paris, où il évoquera – dans un premier temps – la question des sargasses aux Antilles & en Guyane.

Kathy CARIME-JALIME, adjointe EELV au maire du XXème arrondissement en
charge de l’écologie urbaine, évoquera ensuite la «Nouvelle Route du Littoral» (NLR) &
son impact écologique irréversible à la Réunion.

Enfin, le sociologue martiniquais Pierre PASTEL, président du Cégom (Collectif
des États généraux de l’outre-mer – Fédération des Français/es d’outre-mers), sera
l’invité d’honneur de cette réunion & évoquera la situation générale des Français/es
d’outre-mers dans l’Hexagone, qui interpelle l’écologie politique à plus d’un titre.

Les échanges avec le public seront modérés par Joëlle MOREL, conseillère EELV
de Paris; adjointe EELV au maire du XIème arrondissement en charge des espaces verts, de la biodiversité & du plan-climat (www.facebook.com/events/1611136315838339).

RDV vendredi 3 juillet à partir de 18 h 00 à l’hôtel de ville de Paris (9, place de
l’Hôtel-de-Ville, salle 120, réservation obligatoire par courriel avant cette date à
l’adresse «sec.comom.eelv@gmail.com»).

Un verre de l’amitié clôturera cette rencontre, placée sous le parrainage de David BELLIARD (conseiller EELV de Paris) & Francine BAVAY (conseillère régionale EELV d’Île-de-France & conseillère du XIème arr.).

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A l’initiative de Pascal Durand, député européen d’Europe Écologie les Verts, se tiendra la conférence débat sur le thème : « L’animal aussi va souffrir du TAFTA »le 28 mai 2015, à 19h30 au Mecano Bar, 99 rue Oberkampf, Paris 11e

Le TAFTA, s’il est appliqué, impactera forcément la condition animale, en particulier à travers l’élevage industriel. Il est à craindre que la recherche de la suppression des barrières commerciales non-tarifaires entre l’Union européenne et les Etats-Unis, provoque une révision à la baisse des normes régulant les conditions d’élevage des animaux.

Même si elle est très loin d’être satisfaisante, la législation européenne est plus avancée sur ce sujet que les autres pays. Dès le Traité de Lisbonne,en 2009, l’Europe a inscrit le bien-être animal dans ses principes fondamentaux. Inversement la législation des États-Unis ne s’en préoccupe guère; elle n’interdit ni le confinement extrême, ni l’expérimentation animale pour les produits cosmétiques et d’hygiène et n’inclut pas dans sa loi sur le bien-être animal les oiseaux, les poissons, les rats et les souris.

L’objectif de ce traité est d’augmenter le commerce et les investissements entre l’UE et les Etats-Unis, grâce notamment à la baisse du coût de production des produits d’élevage; cela implique, pour l’atteindre une dégradation de la condition de vie de millions d’animaux.

Pascal Durand sera accompagné de Léopoldine Charbonneaux,directrice de l’ONG Internationale CIWF, de Christophe Marie porte-parole de la fondation Brigitte Bardot, ainsi que du secrétaire national de la Confédération Paysanne.

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Une trentaine de Chibanis, des retraités algériens et marocains, a été expulsée jeudi au petit matin d’un bâtiment insalubre du 11e arrondissement par les CRS sans information préalable. Cette expulsion intervient alors qu’une procédure juridique est en cours et qu’un courrier des Chibanis à la Préfecture est resté sans réponse.

« Ces personnes âgées vivent pour la plupart en France depuis 40 ans et se sont tenues ces derniers mois à la disposition de la Préfecture de Police pour maintenir le dialogue, rappelle Anne Souyris, coprésidente du Groupe écologiste de Paris (GEP). La Préfecture doit s’expliquer sur ces conditions d’expulsions indignes sans dialogue préalable avec les personnes concernées et la Ville de Paris. »

La trentaine de Chibanis est en attente d’un relogement avant le 30 juin. David Belliard, coprésident du Groupe écologiste de Paris (GEP), élu du 11e, s’est rendu samedi sur place. Accompagné de Joëlle Morel, Conseillère de Paris, élue du 11e, il a pu constater que les dossiers suivaient leurs cours. « Samedi, 16 propositions de logements sociaux avaient été faites et les situations étaient en passe de se régler. La Mairie a fait savoir ce matin que d’ici au 30 juin, chacun – sans exception – se verra attribuer un logement dans Paris. Ainsi, cette expulsion a traumatisé inutilement des personnes âgées en cours de relogement. »

Communiqué du Groupe écologiste de Paris du 19 février 2015

On parlera donc désormais de la « loi Abeille ». Porté depuis deux ans par la députée écologiste du Val-de-Marne membre de la commission du développement durable, les principes de sobriété dans l’exposition aux ondes électromagnétiques, d’information et de protection des utilisateurs face aux risques, de concertation lors de l’installation d’antennes-relais sont enfin inscrits dans la loi.

« C’est une grande satisfaction car le texte adopté est le fruit d’un travail de conviction, de précision, d’écoute des acteurs, estime Laurence Abeille. Il ne prétend pas répondre pas à tout, mais il constitue un compromis utile, et fait progresser la transparence. Il est l’illustration du fait que protection de notre environnement et prise en compte des risques sanitaires ne sont en rien incompatibles avec le développement technologique et la diffusion des usages des nouvelles technologies. »

L’Assemblée nationale, en adoptant le texte issu des travaux du Sénat, vient donc de consacrer la troisième loi écologiste de la législature, la première issue du groupe écologiste de l’Assemblée nationale, les deux premières (sur le statut de lanceurs d’alertes sanitaires et environnementales d’une part et la limitation de l’usage de produits phytosanitaires de l’autre) étant d’origine sénatoriale.

« Ce texte a été adopté grâce au dialogue avec le gouvernement et au sein de la majorité de l’Assemblée, notamment François Brottes, président de la commission des Affaires économiques», estime François de Rugy, coprésident du groupe.

« Après le statut des lanceurs d’alertes et la limitation de l’usage de produits phytosanitaires, avec cette loi Abeille, chacun peut constater que l’action parlementaire des écologistes fait progresser concrètement l’écologie dans la vie quotidienne des Français », conclut Barbara Pompili.

Laurence Abeille, députée du Val de Marne
François de Rugy et Barbara Pompili coprésidents du groupe écologiste à l’Assemblée nationale

Communiqué à la presse, Paris, le 29 janvier 2015

A l’issue de la COP 20 où il était présent, et au-delà des postures officielles, Denis Baupin  tire un bilan de cette conférence. A ceux qui s’impatientent, même si toutes les inquiétudes sont justifiées, il rappelle qu’«il n’y a pas de raccourci dans la constitution d’une conscience collective planétaire».

Le document d’étape produit à Lima, malgré ses insuffisances, laisse des marges d’évolution, d’ici à Paris,  significativement plus ouvertes qu’il n’y parait à première vue. Il pose ensuite les prérequis pour la COP 21 en 2015 marque enfin un tournant majeur dans le combat contre les causes du changement climatique.

Pour lire la tribune

Photo : Lima inauguration de la COP20. Crédits :  Ministerio de Relaciones Exteriores. Peru

Le Conseil de Paris a débattu lundi de l’accueil de l’Euro 2016. Les élu-e-s du Groupe écologiste de Paris (GEP), qui se sont abstenus sur la délibération, ont présenté 3 vœux pour que les Parisiennes et les Parisiens ne subissent pas un événement dont le coût leur serait en partie imputé et dont les sponsors envahiraient Paris :

–          La mise en place d’un dispositif de compensation de l’empreinte carbone de l’accueil de l’Euro 2016 à Paris (vœu adopté)

–          Une négociation avec l’UEFA afin de s’assurer que l’accueil global de l’événement aura un coût financier nul pour la Ville de Paris

–          Le strict respect du Règlement local de publicité (RLP) de Paris, sur l’ensemble du territoire parisien (vœu adopté)

« Nous serons particulièrement attentifs à ce que Paris ne soit pas envahi par les sponsors, notamment au Champ-de-Mars où se tiendra la Fan zone », prévient Sandrine Mées, Conseillère de Paris du 18e arrondissement.

2,5 millions de supporters sont attendus pour l’Euro 2016, dont un million venant de l’étranger. Les écologistes proposent de mettre en place une démarche de compensation de l’empreinte carbone de l’événement comme les JO de Salt Lake City 2002 et la Coupe du Monde 2006 en Allemagne, entre autres, l’ont déjà expérimenté par le passé. Pour Anne Souyris, coprésidente du GEP, « le transport des supporters et des délégations sportives et médiatiques sera très polluant. Cette empreinte écologique doit être compensée par l’UEFA qui se targue de le pratiquer pour ses propres collaborateurs. »

Les écologistes ont par ailleurs dénoncé l’exonération fiscale de l’UEFA décidée par le précédent gouvernement, et que l’actuel gouvernement souhaite désormais élargir à l’ensemble des prochains grands événements sportifs. Pour David Belliard, coprésident du GEP, « il est scandaleux que la France se transforme en paradis fiscal pour accueillir l’Euro 2016. Les Parisiens ne doivent pas supporter le moindre euro du coût de cet événement. »

Communiqué du groupe écologiste de Paris (GEP) – 18/11/2014

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