Communiqué de presse d’EELV Lille du jeudi 15 décembre 2016

Lillenium : un projet dépassé qui survit sous perfusion de financements publics

Jean-Luc Munro, militant EELV et conseiller municipal de Loos (59) est convoqué devant le Tribunal de Grande Instance de Lille mercredi 26 octobre pour « violence à agent dépositaire de l’autorité publique, avec la circonstance aggravante d’une arme par destination », son vélo !

Cette mise en cause est grotesque et absurde pour qui connaît Jean-Luc qui ce jour là, le 6 avril dernier, était parfaitement dans son rôle de militant écologiste et d’élu en voulant assister à une opération policière sur un terrain accueillant des Roms dans sa commune, pour assister ceux-ci et éventuellement témoigner, comme il l’avait déjà fait.

Cette mise en cause est ridicule, mais Jean-Luc risque cependant 5 ans de prison et 75000 euros d’amende. Un comité de soutien s’est constitué, plus de 2000 personnes ont déjà signé la pétition de soutien, le dessinateur de BD François Boucq a offert un dessin en soutien, une trentaine d’organisations ont apporté leur soutien.

Mais cette mobilisation et les frais liés à sa défense devant le TGI coûtent cher.

EELV s’est évidemment engagé à ce que Jean-Luc n’ait pas à prendre un euro à sa charge.

Nous faisons donc appel à votre soutien financier.

En faisant un don par Carte Bleue en cliquant ici.

Ou en envoyant au plus vite un chèque à l’ordre d’AF EELV NPDC, en précisant au dos « procès Munro », à la MER, 30 rue des Meuniers 59000 Lille, vous bénéficierez aussi d’un reçu fiscal. Si vous payez des impôts, un don de 50 euros ne vous coûtera par exemple que 17 euros.

Et nous vous invitons aussi à signer la pétition de soutien si vous ne l’avez pas encore fait.

Enfin, nous vous appelons à participer au rassemblement mercredi 26 à 12 h 30 sur le Grand-Place de Lille, pour nous rendre ensuite tous ensemble avec Jean-Luc au Tribunal, à pied ou à vélo.

via npdc.eelv.fr

dessin de François Boucq

La voix du Nord – 14 Octobre 2016 – Jean-Luc Munro et son vélo deviennent un symbole

Au terme d’une campagne électorale qui s’est déroulée dans un contexte sans précédent, le Rassemblement soutenu par Europe Écologie Les Verts, le Parti de gauche, Nouvelle Donne, la Nouvelle Gauche Socialiste et conduit par Sandrine Rousseau, obtient un score décevant dans la région Nord Pas de Calais – Picardie.

Nous remercions les 108 002 électrices et électeurs (4,83%) qui ont choisi une région citoyenne, écologique et solidaire. Cette campagne n’a malheureusement pas trouvé l’écho que nous espérions.

Avec moins de 5% nos dépenses de campagne ne nous seront pas remboursées par l’État. L’État pouvait rembourser jusqu’à 830 000 euros de dépenses. Nous avons choisi de mener une campagne sobre, et n’avons donc pas dépensé cette somme.

Nous avons un besoin très urgent de plus de 200 000 euros, avant le 31 décembre, pour pouvoir faire face dans les prochains jours à nos échéances financières. La banque auprès de qui nous avons emprunté s’est déjà retournée vers notre tête de liste qui s’était portée caution. Notre région aura besoin dans les 6 ans à venir que notre voix soit entendue.

L’échec de dimanche ne signe pas la fin de notre Rassemblement.

Mais nous avons impérativement besoin de votre solidarité pour passer cette échéance.

Votre don ouvre droit à une réduction d’impôt de 66% : quand vous faîtes un don de 100 euros, vous pourrez déduire 66 euros du montant de vos impôts à payer.

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Don par chèque

Vous pouvez nous envoyer vos chèques à l’ordre de l’association de financement électoral de la campagne : « AFE Rousseau ER 2015«

A l’adresse :

AFE ROUSSEAU ER 2015

30 rue des meuniers, 59000 Lille

Le montant des dons consentis aux candidats ne peut excéder, conformément à l’article L. 52-8 du Code électoral, 4 600 € pour une seule personne physique et pour toute l’élection régionale, quel que soit le nombre de candidats soutenus (dons financiers et dons en nature hors bénévolat). Les personnes morales ne peuvent pas faire de dons.

Il résulte de l’article L. 52-10 que les reçus délivrés pour des dons d’un montant égal ou inférieur à 3 000 €, consentis par des personnes physiques, ne mentionnent pas le nom du mandataire bénéficiaire, ni a fortiori le nom du candidat. À l’inverse, tout don supérieur à 3 000 €, doit comporter, au dos du reçu, les nom et adresse du mandataire (3e alinéa de l’article 12 du décret n° 2001-213 du 8 mars 2001).

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Don par carte bancaire

Nous ne sommes pas en mesure de déployer une plateforme de dons en ligne pour des questions de délais et de coûts. Aussi, si vous souhaitez nous soutenir par ce biais, nous vous invitons à donner directement via la plateforme d’Europe Écologie Les Verts, qui reversera :

[JE DONNE PAR CARTE via la plateforme EELV NPDC]

[JE DONNE PAR CARTE via la plateforme EELV Picardie]

Le Code électoral ne nous permet pas de faire appel à du crowdfunding.

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Don en espèces

Le versement des dons en espèces est limité à 150 € par donateur. Comme tout don, il donne lieu à un reçu-don mais n’ouvre pas droit à avantage fiscal. Vous pouvez nous les remettre aux horaires d’ouverture de bureau à notre siège (30 rue des Meuniers, Lille).

Merci néanmoins de privilégier les dons par chèque et carte bancaire.

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Contact

Pour toute demande de précision : [MAIL]

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Merci de votre solidarité, pour que vivent notre Rassemblement, ses idées et ses valeurs !

Bonne année, bon climat, bonne santé !

A la veille du sommet de la terre sur la question importante du réchauffement climatique qui se tiendra à Paris en 2015,
nous formulons le vœux d’un engagement serein mais résolu de notre ville dans la transition écologique.
Plus de bio dans les repas des enfants, des rues où l’on respire mieux, des jardins à cultiver en bas de chez soi, des familles à énergie positive…
nous pouvons agir à notre échelle de citadin, chacun là où nous sommes. Il existe déjà un tas d’initiatives dans ce sens comme verdir sa façade ou préférer le vélo à l’auto.

Face à la baisse massive des dotations de l’état en direction des collectivités, nous ne voulons pas nous résigner à une baisse de qualité du service public municipal. Nous sommes déterminés au maintien de cet important levier de solidarité, qui contribue aux liens sociaux dans notre ville. Nous saluons les services municipaux et leur détermination à œuvrer au maintien d’une qualité des services rendus aux lillois dans un contexte très difficile.

Gérer la contrainte budgétaire c’est encore promouvoir l’évaluation des actions menées par les partenaires associatifs de la Ville, en étant pleinement conscients qu’ils contribuent souvent à un service public municipal de qualité. Nous défendons un niveau de subvention permettant aux associations de continuer à être des acteurs privilégiés de la Ville.

Confrontés aux crises environnementales, énergétiques et économiques et face aux renoncements et à la morosité des propositions libérales et conservatrices, nous faisons nous le choix, d’initier une démarche joyeuse participative et économe, qui mette en mouvement, la capacité de notre ville et de ses habitants à inventer des pratiques nouvelles, solidaires et écologiques.

Lise Daleux
Adjointe Nature en ville, espaces verts, politique de l’eau et biodiversité

Nous saluons la présentation en Conseil Municipal du rapport sur la situation de Lille en matière de développement durable. Les difficultés budgétaires actuelles doivent nous inciter à accentuer cette politique plutôt qu’à l’infléchir.

En effet, beaucoup de chantiers ont avancé depuis les deux derniers mandats. En s’appuyant à la fois sur les services municipaux et sur un réseau de partenaires, notre Ville a su initier des actions exemplaires dans des domaines aussi divers que l’installation de panneaux photovoltaïques sur des bâtiments municipaux, la promotion de modes de déplacements alternatifs avec lilas-autopartage et le plan vélo, le développement de la nature en ville ou le soutien au secteur de l’économie sociale et solidaire depuis de nombreuses années, une politique de santé environnementale à travers l’agenda 21 santé. Ces politiques doivent être poursuivies.

Poursuivons et amplifions cette démarche qui propose d’irriguer l’ensemble des politiques municipales.

– systématisons les efforts en fournitures durables pour les équipements municipaux, en intensifiant les efforts sur nos achats. A terme, nous devons viser le zéro émission de polluants intérieurs dans nos bâtiments.

– continuons à agir, à notre niveau, pour une amélioration de la qualité de l’air offerte au lillois en favorisant la promotion des transports doux et en les informant sur les moyens d’améliorer la qualité de l’air dans leur habitat.

-donnons-nous les moyens de construire une politique de restauration scolaire véritablement durable en augmentant de manière significative la part du bio et en favorisant les circuits courts.

–Engageons la rénovation thermique des bâtiments publics permettant de maîtriser le budget de fonctionnement de notre patrimoine.

– Intensifions la rénovation thermique des bâtiments privés afin de lutter  la précarité énergétique des lillois et de favoriser l’emploi.

A la veille de de la 21ème conférence climat qui se tiendra à Paris en décembre 2015, nous formulons le vœu d’un engagement serein mais résolu de notre ville dans la transition énergétique et écologique. C’est la meilleure voie pour éviter l’austérité à laquelle le libéralisme tente de nous contraindre.

Jérémie Crépel, conseiller municipal délégué à la Santé

Madame le Maire, Mesdames, Messieurs, Mes chers collègues,

C’est dans un contexte financier contraint et incertain que nous avons dû élaborer les orientations budgétaires pour l’année 2015.

Incertain, puisque le gouvernement a révisé plusieurs fois sa copie avant de transmettre les éléments révélant l’ampleur de la baisse des dotations de l’état pour cette année 2015. Ces baisses réduisent les marges de manœuvre des collectivités locales, réduisant leurs actions et leurs investissements. Cette réduction des moyens pouvaient être atténuée par des choix différents du gouvernement ; cela n’a pas été le cas, puisque le pacte de responsabilité proposé aux entreprises, est en fait un cadeau fiscal qui n’a pas montré son efficacité et n’a pas créé d’emploi. Ces choix que nous ne partageons pas sont aujourd’hui une des raisons principales de nos difficultés.

Contexte contraint aussi, puisqu’en élus responsables, au sein de nos Délégations, nous avons fait des propositions pour concourir à l’effort qui nous a été demandé en réduisant fortement, encore plus que les années précédentes, les dépenses de fonctionnement.

Face à cette baisse massive des dotations de l’état en direction des collectivités, nous ne voulons pas nous résigner à une baisse de qualité du service public municipal. Nous sommes déterminés au maintien de cet important levier de solidarité, qui contribue aux liens sociaux dans notre ville .

C’est dans ce cadre que nous assumons l’augmentation modérée du taux de la taxe foncière ; c’est une mesure qui va dans le sens de la réflexion portée par les élus écologistes depuis plusieurs années. Face à la difficulté d’équilibrer un budget avec une baisse importante des dotations, nous sommes plus que jamais à l’heure du choix :

Que voulons-nous ? moins de personnel, moins de subventions aux associations, moins de service public, moins de société en somme, pour laisser à chacun le soin de trouver sa solution pour se loger, se transporter, trouver un accueil pour son enfant ?
Il faudrait alors se résoudre à la fermeture des piscines, des terrains de sports, des bibliothèques, des crèches et des jardins publics, chacun se chargeant d’assurer sa sécurité…. C’est l’annonce faite ces jours ci par certaines municipalités souvent de droite. Alors nous, nous avons choisi !

Entre le chacun pour soi et la solidarité, nous avons choisi
Entre des valeurs de gauche et des valeurs libérales de droite, nous avons choisi !
Entre la baisse inexorable de la puissance publique, et l’augmentation raisonnable de la fiscalité, nous avons choisi. La taxe foncière est pour nous la moins mauvaise des solutions et quoiqu’en dise l’opposition, cette mesure permet le maintien de projets pour l’ensemble des lillois à l’échelle municipale.
Dans le même registre nous assumons également l’actualisation des recettes tarifaires, permettant d’augmenter les ressources pour notre collectivité.

Évidemment vous allez me dire que l’on peut toujours faire plus avec moins. Vieux refrain libéral mis en œuvre par le gouvernement Sarkozy qui avait lancé une politique de désengagement des services publics dès 2008 avec la RGPP (révision générale des politiques publiques) et le non remplacement absurde d’un fonctionnaire sur deux qui avait amené une réduction des effectifs dans le secteur public. Réduction qui avait mis en difficulté l’éducation nationale et qui avait désorganisé les services de police (pour ne prendre que ces 2 exemples). Cette même politique qui avait déjà baissé les dotations aux collectivités nous obligeant à rationaliser nos politiques pour les rendre plus efficientes.
Mais nous sommes aujourd’hui, dans beaucoup de services aux limites de la réduction possible des moyens, nous sommes à l’os pour reprendre une image très parlante. Les services que je tiens à saluer car je peux témoigner aujourd’hui de toute leur détermination à œuvrer au maintien d’une qualité des services rendus aux lillois dans un contexte très difficile.

Alors oui, entre une politique de droite de réduction des budgets, des effectifs et des services et des valeurs de gauche qui prônent la solidarité et la sauvegarde des services publics pour mieux vivre ensemble, nous avons choisi.

Pour autant, nous ne contenterons pas de nous prononcer pour le maintien de la qualité du service public municipal  sans interroger les pratiques.
Gérer la contrainte budgétaire, trouver des marges de manœuvre, en élus responsables, c’est également rechercher collectivement d’autres modes de faire : expérimenter des formes de mutualisation et mettre en pratique plus de transversalité au sein des services municipaux.

C’est également traduire dans les actes, une politique d’investissement tournée vers l’entretien du patrimoine existant. Dans le mandat précédent, la politique de maîtrise de l’énergie a permis d’économiser plus de 2 millions d’€ en 4 ans. Aujourd’hui nous proposons de maintenir ces efforts d’investissement dans le patrimoine au risque de ne plus maîtriser des dépenses de fonctionnement qui augmenteront avec le prix de l’énergie. Cela renvoie à la vision d’une gestion immobilière dynamique du patrimoine municipal, permettant à la fois une meilleure maîtrise de celui-ci et une meilleure réponse aux usages. Dans ce sens nous défendons les occupations temporaires et à plein temps des bâtiments non utilisés.

Gérer la contrainte budgétaire c’est encore promouvoir l’évaluation des actions menées par les partenaires associatifs de la Ville, en étant pleinement conscients qu’ils contribuent souvent à un service public municipal de qualité. Gérer la contrainte, c’est considérer que la baisse de leur financement n’est pas une simple variable d’ajustement comptable, qui n’aurait pas d’effet sur le quotidien des lillois et des lilloises.

C’est enfin soutenir les initiatives indépendantes, artistiques culturelles sur l’ensemble de notre ville qui, au-delà des événementiels, inventent des lieux et des moments d’intelligence collective, de plaisir et d’émotions partagées pour tous les lillois et les lilloises.

Confrontés aux crises environnementales, énergétiques et économiques et face à la morosité des propositions libérales et conservatrices de réduction de tout ce qui fait notre vie, nous faisons le choix, d’initier une démarche joyeuse et économe, qui mette en mouvement, la capacité de notre ville et de ses habitants à inventer des pratiques nouvelles, solidaires et écologiques, pour faire société dans la ville qui nous rassemble.

Lise Daleux, pour le groupe Europe Écologie – Les Verts

Intervention de Stéphane Baly,
Conseiller Municipal délégué aux Énergies et gestion technique des bâtiments

Parce que la société de l’être et non de l’avoir est un fondamental de l’écologie politique, Europe Écologie – Les Verts approuve et votera cette motion refusant l’élargissement des possibilités d’ouverture des commerces le dimanche. Constant et cohérent, Europe Écologie-Les Verts rappelle que la vitalité du commerce de proximité et indépendant est totalement incompatible avec le développement de la grande distribution.

Au modèle passé des hypermarchés, Europe Écologie-Les Verts rappelle son attachement aux marchés de plein air et notamment à nos trois grands marchés dominicaux Wazemmes, Place Caulier et place du Concert.

Nous nous réjouissons que cette motion ne se limite pas à la seule question d’une journée d’ouverture supplémentaire des commerces mais réaffirme bien l’importance du commerce de proximité face au rouleau compresseur de la grande distribution qui se trouve encore renforcée par cette loi. Nous y retrouvons quasiment mot pour mot les arguments ayant amené le groupe écologiste à voter contre le projet Lillenium au mandat précédent.

Stéphane Baly,
Énergies et gestion technique des bâtiments
pour le groupe des élu-e-s Europe Écologie – Les Verts

crédit photo : Fred_v

Le 1er décembre 2014 aura lieu la 17e journée internationale de lutte contre le SIDA avec le slogan «Combler l’écart».
En effet, l’épidémie reste d’actualité ; il faut poursuivre les efforts de prévention, de dépistage, et de traitement des personnes séropositives, afin de pouvoir vaincre, un jour, l’épidémie.
En grèce les politiques d’austérité ont provoquées une remontée de l’épidémie. Aujourd’hui en France, l’épidémie est contenue mais pas maitrisée, c’est pourquoi il nous faut poursuivre l’effort et sanctuariser les budgets de la lutte contre le Sida.
Des associations comme le Planning familial l’ont rappelé en réclamant à l’Agence Régionale de Santé que la lutte contre les infections sexuellement transmissibles soient toujours affichée comme une priorité de l’appel à projet 2015 en Nord-Pas-de-Calais.

La ville de Lille a d’ailleurs fait un effort particulier en 2014, en participant financièrement aux tests rapides proposés par AIDS, qui «fête» ses 30 ans d’existence, ainsi qu’à l’organisation de le journée du 1er décembre à Lille, avec un banquet solidaire le 29 novembre au Prato et la rencontre «Et les femmes dans tout ça ?» le 2/12 à 18h30 à Saint-Sauveur.

«Combler l’écart», c’est faire cesser les discriminations dont sont toujours victimes les personnes séropositives. C’est aussi stopper la stigmatisation des personnes trans, des homosexuelLEs, des immigréEs ou des prostituéEs, qui les rendent plus fragiles face au SIDA. C’est enfin permettre à touTEs, l’accès à la prévention, au dépistage (15% de la population dépistée au stade Sida) et surtout aux traitements. Selon l’ONUSIDA, sur 35 millions de séropositifs dans le monde, seuls 37% bénéficient d’un traitement antiviral, 24% en ce qui concerne les enfants.

C’est pourquoi, comme ils s’y sont engagés dans leur programme, les écologistes lillois continueront à soutenir la lutte contre les infections sexuellement transmissibles, l’éducation à la sexualité, la lutte contre les discriminations et la solidarité internationale, pour qu’en 2030 -objectif affiché par ONUSIDA- l’épidémie de SIDA soit enfin vaincue.

Nous avons les moyens scientifiques et techniques de vaincre l’épidémie, c’est maintenant à la société de le faire.

Jérémie Crépel
Conseiller Municipal Délégué à la santé