Projet de culture d’algue et de coquillage à Moëlan-sur-mer.

EELV le groupe local de Quimperlé en Août 2014 a pris position sur ce projet en
s’inquiétant de son ampleur et partageait les conclusions rendues par
Eaux et Rivière de Bretagne.

Depuis ce projet, grâce à la lutte des associations, a été redimensionné
à la baisse : durée de 15 ans et surface diminuée .

Les groupes EELV Pays de Quimperlé et Pays de Concarneau restent mobilisés sur ce projet.

Nous resterons vigilants sur la période de mise en culture des algues, saisons de pêche, acheminement et traitement car il nous apparaît que sur ces paramètres le projet est vraiment mal ficelé…

En conclusion restons vigilant et si nous sommes élus, EELV s’impliquera pour une mise en place d’une véritable politique d’aménagement du littoral à l’échelle local et régionale qui soit source de progrès partagé par tous.

EELV le groupe local du Pays de Concarneau.

candidats aux départementales dans le canton de Moëlan sur mer.

Depuis janvier 2014, huit associations de la région, se mobilisent contre un projet industriel d’algoculture sur nos côtes. (230 hectares, 15 ans de concession, diverses subventions sur deniers publics et un dossier a contre-courant du devoir de précaution envers la biodiversité).
La presse a largement fait état de notre combat.
L’avis de monsieur Morandeau technicien à l’FREMER aurait été précieux.

OU ETIEZ VOUS durant toute cette période? Quel a été votre engagement face à ce projet?

un citoyen moëlanais
potentiel électeur d’EELV

Après le triste épisode de la Maison Harel (les articles sur internet ne manquent pas), voilà un nouveau dossier qui interroge les élus concarnois sur leur politique d’urbanisme et de protection du patrimoine architectural et culturel.

Tout comme pour la maison Harel, il ne s’agit pas ici d’une politique de densification de la ville, de renouvellement urbain qui viserait à redynamiser un quartier. Non, il s’agit simplement de spéculation foncière. Pour qui, pourquoi ? Peut-être les élus de Concarneau pourront y répondre lors de la réunion publique (en pleine journée, en semaine ! bien jouée la concertation).

L’installation d’appartements de haut standing, ou pas, dans ce quartier peut se justifier, ou au moins s’argumenter. La destruction d’anciens bâtiments vétustes, désuets, obsolètes également. Mais il s’agit ici du patrimoine architectural de Concarneau. Les villas balnéaires du début du siècle ne sont si fréquentes que l’on puisse se permettre de les raser si facilement. Leur intérêt architectural est indéniable et reconnu par l’architecte des bâtiments de France. Peut-on, la commune peut-elle, se permettre de passer outre pour satisfaire des intérêts privés ?

La commune se cache derrière le fait que la maison ne fait pas partie de la ZPPAU pour justifier sa validation du permis de construire. Mais les arguments ne manqueraient pour refuser un tel projet. Il s’agit ici simplement de volonté. Quelle est celle de la commune. De plus, l’élaboration et la modification des documents d’urbanisme relèvent de la compétence de la commune. On ne peut qu’inviter les élus concarnois à inventorier d’urgence ce patrimoine et le protéger dans le PLU (la procédure n’est pas si compliquée).

Avec la maison Harel, il s’agit à nouveau de l’ancienne maison d’un peintre. Pour une cité qui réclame cet héritage, qui est sur l’une des routes des peintres de Cornouaille, qui possède dans ses greniers de nombreuses œuvres, ça commence à faire beaucoup.

Elus concarnois, svp, ne succombez pas aux sirènes des intérêts des promoteurs immobiliers. Protégez notre patrimoine et notre culture.

Un citoyen concarnois,
électeur d’EELV