Communes : Bain-de-Bretagne, Baulon, Bourgbarré, Bréal-sous-Montfort, Breteil, Bruz, Chapelle-Thouarault, Chartres-de-Bretagne, Chavagne, Cintré, Clayes, Gévezé, Guichen, Guignen, Iffendic, Irodouër, Laillé, Langan, Lassy, Le Rheu, Maxent, Monterfil, Montfort-sur-Meu, Mordelles, Noë-Blanche, Noyal-Châtillon-sur-Seiche, Pacé, Paimpont, Parthenay-de-Bretagne, Pléchâtel, Plélan-le-Grand, Pont-Péan, Romillé, Saint-Armel, Saint-Erblon, Saint-Gilles, Saint-Gonlay, Saint-Jacques-de-la-Lande, Saint-Malon-sur-Mel, Saint-Maugan, Saint-Péran, Saint-Senoux, Saint-Thurial, Talensac, Treffendel, Verger, Vern-sur-Seiche.

Porte paroles : Régine Ferron et Loïc Le Hir

Contact : so-rennes@eelv.fr

Le groupe local EELV Sud et Ouest de Rennes coorganise une soirée débat, mercredi 8 mars, sur le projet de transition énergétique citoyenne de l‘île de Sein. Patrick Saultier, directeur de l’île de Sein Énergie (IDSE), est porteur du projet. Il est également le porteur du premier projet citoyen éolien de Plélan-le-Grand, en Ille-et-Vilaine.

« Aujourd’hui, les Sénans sont fournis en électricité par des groupes électrogènes d’EDF qui consomment chaque année plus de 420 000 litres de fioul. L’IDSE, avec les habitants, a élaboré un projet de fourniture d’électricité 100 % renouvelable », expliquent les organisateurs de la soirée.

Mercredi 8 mars, à 20 h, à la Maison des associations, 6, cours des alliés. Entrée libre.

le tract ici en PDF : ATREIS affiche def. -469ko

D’ici 2021, 31 millions de compteurs Linky, dits « communicants », devraient être installés en France. Ce nouveau compteur soulève de nombreuses questions quant à son impact sanitaire, la protection des données personnelles, son coût et sa pertinence dans le cadre de la loi sur la transition énergétique.

L’absence de réponses convaincantes à ces questions suscite l’opposition croissante d’une partie de la population, ainsi que de municipalités attentives à la préservation des droits de leurs administrés.

Si l’impact sanitaire constitué par les émissions d’ondes est présenté comme faible, le rapport de l’ANSES ne conclue pas à une innocuité incontestable. Le principe de précaution devrait donc s’appliquer, et toute personne devrait pouvoir refuser l’installation de ce compteur à son domicile, et le faire retirer si des troubles apparaissaient. La demande de moratoire de communes soucieuses de la salubrité de leurs bâtiments publics paraît également légitime.

Concernant les données personnelles, ce compteur est un objet connecté qui, comme les autres, menace potentiellement les libertés individuelles. Bien qu’un contrôle régulier de l’utilisation des données doive être effectué par la CNIL, la vigilance restera de rigueur.

Quant au coût, les 5 à 7 milliards d’euros consacrés à la mise en place de ces compteurs auraient pu être utilisés avec une réelle efficience dans des politiques visant à la sobriété et à l’efficacité énergétique.

Le groupe EELV du Sud-Ouest de Rennes regrette cette mise en place précipitée, motivée avant tout par l’opportunité pour le distributeur d’énergie ENEDIS d’effectuer les interventions à distance et supprimer ainsi 10 000 emplois.

Le groupe EELV Sud et Ouest de Rennes s’est forgé la conviction que la balance avantages/inconvénients ne penche pas en faveur des intérêts des citoyens et consommateurs.

Le groupe EELV Sud et Ouest de Rennes comprend les inquiétudes des maires qui ont adopté une posture de refus motivé et regrette qu’ENEDIS ait choisi de porter cette question sur le terrain judiciaire.

Lundi 13 février 2017

Pour le groupe local Europe Ecologie Les Verts Sud et Ouest de Rennes,

Régine Ferron

Philippe Cocheril

Daniel Salmon

contact : so-rennes@eelv.fr

Les contrats de nos communes sont de plus en plus confiés au entreprises privées. Pourquoi ? C’est notre affaire à tou-tes.

L’affiche en PDF :

affiche A4_conf eau V6_goutte bleue

Le secrétaire national intérimaire d’EELV sera en Ille et Vilaine demain et après-demain.

Mercredi 18 mai à Saint –Malo et Vern Sur Seiche

David Cormand sera accompagné par Michel Forget, secrétaire régional d’EELV Bretagne

Saint-Malo. Début d’après midi : Visite dans la Baie du Mont Saint-Michel sur les sites concernés par les risques de submersion marine et leurs conséquences sur le développement des communes littorales. A Saint-Malo, visite des sites « pollueurs » (le port dans la ville) avec Michèle Le Tallec, élue locale.

Contact : Michèle Le Tallec 06 68 68 10 87

Vern sur Seiche. A partir de 17h30 (rdv devant la Mairie) : Visite de terrain  avec Nicolas Deleume, élu local. Exemple de co-construction d’un espace de jardin partagé, passage en 0 phyto, écopastoralisme…

Contact : Nicolas Deleume 06 30 89 80 36

Jeudi 19 mai à Redon

Sixt sur Aff  (Redon) : Visite de l’exploitation « l’Amante verte » de Claire Desmares et Adrien Poirier. Plantes aromatiques bio. Repas à la ferme.

Contact: Claire Desmares 06 46 57 07 88

Le GAEC des Porcs Sains de Guignen au lieu-dit « La Fourberie » envisage de développer son élevage
porcin et passer de 135 à 275 truies et de 1200 à plus de 3 500 porcs. Ce projet interpelle le groupe local Europe Ecologie Les Verts (EELV) Sud et Ouest de Rennes par sa taille et ses impacts sur notre environnement.
EELV défend une agriculture paysanne, produisant des produits de qualité, respectueuse de
l’environnement et du bien-être animal, créatrice d’emplois, et permettant aux paysans de vivre
d’un revenu décent sans nécessité de se surendetter. Dans le cas présent, l’emprunt sera de 2 500 000 € soit 84% de l’investissement. L’étude économique a été réalisée avec un cours du porc à 1,45 €, montant jamais atteint en 2015, alors qu’il est actuellement à moins de 1,07 € au marché de Plérin.
Les différentes crises traversées depuis plusieurs années démontrent que le modèle productiviste,
encouragé par la profession agricole majoritaire et les élus régionaux, est condamné. Après examen du dossier en mairie et une visite sur le terrain par des membres du groupe local, EELV estime que les conditions ne sont pas réunies pour cette extension :
 Le plan d’épandage s’accroît de 125 Ha. Le risque d’impacts sur la faune et la flore est
important. Beaucoup de parcelles sont dans des vallées, proche d’habitations, de cours d’eau, de
fontaines et puits déclarés, de zones inondables et sur des zones humides qui n’ont pas été
identifiées comme telles au PLU (du fait d’un inventaire trop superficiel ou complaisant) ;
 Les bâtiments seraient à moins de 100 mètres de l’habitation d’un tiers et un forage se
trouverait à proximité des bâtiments à construire, une dérogation est demandée ;
 Les fosses à lisiers ne seront pas toutes couvertes et le traitement de l’ammoniac en sortie des
bâtiments n’est que très peu abordé alors que cela représente un problème de santé publique de
plus en plus préoccupant ;
 Le dossier précise que les talus et haies seront maintenus alors qu’en parcourant les sites, nous
nous sommes aperçus que beaucoup d’entre eux sont déjà supprimés. Il serait plutôt nécessaire
de reconstruire et replanter ;
 Le bien-être animal est très peu abordé, si ce n’est la filtration d’air aux entrées des bâtiments ;
 Le projet ne prend que très peu en compte les désagréments pour les riverains et la
population : odeurs d’épandage et impacts sanitaires, baisse de la valeur marchande des
propriétés, augmentation du trafic routier …
 Malgré le doublement de la taille de l’élevage, il n’y a pas de garantie réelle de création de
nouveaux emplois locaux.
EELV Sud et Ouest de Rennes soutient les associations et les habitants qui s’opposent à ce projet
d’industrialisation de l’agriculture. Ce productivisme est nuisible à l’environnement et au climat, à
l’emploi, aux populations et au bien-être des animaux. Le risque de dégradation de l’eau et des
milieux naturels est avéré et va à l’encontre des politiques de reconquête de la qualité des eaux
développées et financées par l’argent public.
Pour l’ensemble de ces raisons, nous demandons au pétitionnaire de reconsidérer son projet.
Pour le groupe local Europe Ecologie Les Verts Sud et Ouest de Rennes,
Régine Ferron, agronome et Loïc Le Hir Porte-paroles

Le groupe local Sud et Ouest de Rennes organise une soirée sur le thème de l’agriculture et de l’alimentation intitulée « Changer d’agriculture pour nourrir le monde ».
Cette soirée se déroulera à L’Hermitage (35) le lundi 8 décembre 2014 à 20h30.
Catherine Darrot, maitre de conf en sociologie rurale à Agrocampus Ouest et Diane Giorgis, chercheuse du Ladyss du CNRS et membre de l’association « Terre en vue » interviendront sur l’autonomie alimentaire de Rennes métropole.
René Louail interviendra en 2ème partie sur le modèle agricole actuel, échec écologique, social, sanitaire et économique et sur la vision des écologistes.

Trouvez ici le tract en format A4

Plus d’infos :

[so-rennes@eelv.fr]

Christian Delacroix était le porte-parole de notre groupe local « EELV sud et Ouest de Rennes ».

Il ne ratait jamais une réunion. Il y a moins de trois semaines, nous l’avions retrouvé à Bruz, malgré sa grande fatigue.

Il attribuait celle-ci aux difficultés inhérente à la rentrée scolaire, il venait de reprendre son poste de directeur à plein temps…

Puisqu’il était confiant, nous l’étions aussi ; aucun de nous n’imaginait ne jamais le revoir.

Un dernier hommage lui a été rendu le mercredi 8 octobre au crématorium de Vern sur Seiche.

Mercredi 12 décembre, es élu-e-s Europe Ecologie Les Verts de l’agglomération rennaise et du Conseil régional de Bretagne rebaptisaient la rue Martenot à Rennes.

Elle s’appelle désormais l’impasse Notre Dame des Landes.

Solène Raude, porte parole d’EELV Rennes a rappelé à cette occasion : « en construisant cet aéroport, on rate le virage de la transition énergétique, on rate le virage de la transformation écologique de l’économie, on rate le virage qui permettrait à nos enfants de retomber sur leurs pieds. Cette obstination à aller tout droit sans se rendre compte que le paysage change, à mener ce projet envers et contre tout, place Jean-Marc Ayrault à l’entrée d’une impasse. Il est toujours possible d’en sortir, mais pour cela encore faut-il savoir que c’en est une. C’est pourquoi nous la rendons visible ici-même, face à la préfecture, représentante de l’État en région. Cette impasse a un nom : l’impasse Notre-Dame-des Landes. »

Et aux élu-e-s de rappeler que toute nouvelle intervention militaire, non seulement irait à l’encontre du processus de dialogue qui doit être mis en œuvre, mais serait aussi indigne d’un gouvernement de gauche.