Plougastel-Daoulas / Landerneau – Bretagne / Breizh http://bretagne-old.eelv.fr Le site d'Europe Ecologie Les Verts Bretagne Tue, 25 Apr 2017 22:23:17 +0200 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.9.6 Projet de centrale gaz à Landivisiau (29). Les collectifs et associations veillent… http://bretagne-old.eelv.fr/centrale-gaz-de-landivisiau-29-les-collectifs-et-associations-veillent/ Wed, 10 Feb 2016 11:02:57 +0000 http://bretagne.eelv.fr/?p=16976 Créée en 2012, l’association « Landivisiau doit dire non à la centrale » a arrêté, hier, un chantier de l’entreprise RTE, près de Landerneau. Une tentative de passage en force de la filiale d’EDF, selon les militants. Faux, selon RTE, qui parle de « travaux d’anticipation ». ...]]>

Créée en 2012, l’association « Landivisiau doit dire non à la centrale » a arrêté, hier, un chantier de l’entreprise RTE, près de Landerneau. Une tentative de passage en force de la filiale d’EDF, selon les militants. Faux, selon RTE, qui parle de « travaux d’anticipation ».

 

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Rénovation de la voie ferrée Landerneau-Quimper. http://bretagne-old.eelv.fr/renovation-de-la-voie-ferree-landerneau-quimper/ Tue, 07 Oct 2014 12:20:53 +0000 http://bretagne.eelv.fr/?p=14198 Christophe Winckler regrette la marche arrière de la Région. Par Gérard, 7 octobre 2014 9 h 10 min Membre du groupe Europe Écologie les Verts de Landerneau-Daoulas, Christophe Winckler regrette la marche arrière de la Région, pour cause de dépassement budgétaire, sur le projet de modernisation de la voie ferrée entre Quimper et Landerneau : « On s’est fait rouler dans la farine. Pourtant, cette rénovation prend aujourd’hui un caractère d’urgence. En doublant la voie sur une partie du tronçon, comme cela avait été promis, il sera possible de passer d’un potentiel de six trajets par jour à une offre de l’ordre de 20 trajets par jour, tout en réduisant leurs durées. C’est l’accès à tout le sud de la Bretagne qui devient vraiment possible ». ...]]>

Christophe Winckler regrette la marche arrière de la Région.

Par , 7 octobre 2014 9 h 10 min

Membre du groupe Europe Écologie les Verts de Landerneau-Daoulas, Christophe Winckler regrette la marche arrière de la Région, pour cause de dépassement budgétaire, sur le projet de modernisation de la voie ferrée entre Quimper et Landerneau : « On s’est fait rouler dans la farine. Pourtant, cette rénovation prend aujourd’hui un caractère d’urgence. En doublant la voie sur une partie du tronçon, comme cela avait été promis, il sera possible de passer d’un potentiel de six trajets par jour à une offre de l’ordre de 20 trajets par jour, tout en réduisant leurs durées. C’est l’accès à tout le sud de la Bretagne qui devient vraiment possible ».

Rouvrir l’arrêt du Bot

Pour ces raisons, le groupe EELV de Landerneau-Daoulas « dénonce la décision de la Région et lui demande de respecter ses engagements en poursuivant le programme de travaux ». Christophe Winckler se tourne également vers la communauté de communes, où il a siégé comme élu jusqu’en mars dernier : « Elle pourrait se saisir de ce dossier et faire pression sur la Région. Elle peut aussi se mobiliser pour la réouverture de la gare du Bot (Daoulas-Irvillac). Cela intéressera les nombreuses personnes qui, depuis le sud de la communauté, font le trajet quotidiennement, par la route, jusqu’à Landerneau ou Brest ».

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Bretagne Grande Vitesse : EELV réagit http://bretagne-old.eelv.fr/bgv-2-au-dela-de-2030/ Mon, 24 Jun 2013 08:07:58 +0000 http://bretagne.eelv.fr/?p=11206  EELV Quimper Bien des questions méritent d’être posées suite à la publication des probables conclusions de la commission « Duron ». ...]]>

 EELV Quimper

Bien des questions méritent d’être posées suite à la publication des probables conclusions de la commission « Duron ».

Il faut d’abord rappeler que les responsables porteurs du projet avaient cru bon de lier l’amélioration des lignes Rennes-Brest et Rennes-Quimper à la création d’une Ligne à Grande Vitesse entre Rennes et Nantes pour desservir Notre Dame Des Landes. Cette stratégie douteuse s’avère être un échec total. Tous les acteurs et professionnels du transport savent qu’une LGV reliant des gares aussi proches ne se justifie absolument pas, ne serait-ce qu’en raison des temps d’accélération et de freinage d’un TGV. Comment laisser penser dès lors, que ce projet global dit BGV2 puisse être retenu comme étant prioritaire parmi les très nombreux projets présentés. L’intervention bien tardive des deux présidents de région comme des décideurs économiques n’était qu’un combat d’arrière garde destiné à apparaître mobilisés sur le sujet.

On peut s’interroger sur la réelle volonté de tous les acteurs de la région de prendre en compte la spécificité de la pointe bretonne. Rappelons qu’en 2017, Rennes sera à 1 h 26 de Paris et à plus de 2 h de Brest et Quimper. Les améliorations intra-régionales des lignes existantes lors de la première phase entamée Bretagne à Grande Vitesse seront sans grand effet sur les temps de parcours.

Une autre question se pose : l’absence de financement par l’état de la desserte ferrovière du projet d’aéroport de NDDL n’annonce-t-elle pas la fin du projet ?

Jean-Pierre Bigorgne, Vice-Président de Quimper Communauté

EELV Landerneau

La commission Mobilité 21 propose au gouvernement de reporter la construction des lignes à grandes vitesse en Bretagne. Certains crient au scandale, mais une analyse plus précise conduit à constater que la commission prend une bonne initiative, sans toute fois faire de propositions constructives.

1 – Le mauvais choix de la région Bretagne.

Au moment oû la Région Bretagne décidait de financer la ligne LGV pour rapprocher Paris de Rennes, Europe Ecologie les Verts avait prévu qu’il ne resterait plus que les miettes pour développer les transports inter-bretons tant les sommes en jeu sont considérables. La région Bretagne est d’ailleurs passée en quelques mois de la région la moins endettée de France à la plus endettée (Gérard Lahellec – Comité de Ligne de Landerneau / juin 2013). En faisant ce choix «parisien», la Région est conduite à faire des arbitrages et, de ce fait, tarde à répondre aux demandes des voyageurs Brest-Landerneau (capacité des trains, horaires étendus en soirée et le samedi). Il en est de même un peu partout en Bretagne.

Plutôt que de rapprocher Paris de Rennes, Europe Ecologie Les Verts proposait de rapprocher Brest de Rennes et de concentrer l’essentiel des efforts sur l’amélioration du maillage intérieur Breton, de réouvrir des gares, de développer le fret et d’encourager la fréquentation du train par une politique tarifaire dynamique et sociale. L’axe Landerneau – Daoulas – Quimper – Nantes est aussi une des priorités.

2 – Pas de LGV entre Brest et Rennes : les landernéens sans doute gagnants!

Europe Ecologie les Verts a toujours défendu l’idée d’améliorer les cadences et vitesses sur la voie existante en la rénovant et, pourquoi pas, en utilisant la technologie du pendulaire qui constitue probablement un très bon compromis. A l’opposée, ceux qui s’arqueboutent sur le slogan «Paris à 3 heures de Brest» oublient d’indiquer qu’il faudra construire des voies nouvelles. Pour les landernéens, et les habitants de nombreuses communes rurales, le risque est que la vallée de l’Elorn et la gare de Landerneau soient shuntée. Ce projet ne signerait-t-il pas l’isolement de la ville et l’augmentation de la durée des trajets ? En effet qui peut croire que pour tenir ce chrono, les TGV continueraient de s’arrêter à Landerneau?

Enfin, pour conclure, EELV, souhaite saluer la décision de la commission présidée par le député PS Philippe Duron qui repousse aussi aux calandes grecques la construction de la ligne reliant l’aéroport de Notre Dame des Landes à Rennes et Nantes. Une raison supplémentaire pour abandonner le projet d’aéroport.

Pour EELV – Groupe de Landerneau-Daoulas, Christophe Winckler

 

EELV au Conseil régional.

Plutôt qu’un aéroport et une LGV Rennes-Nantes inutiles, il est temps de concentrer les financements publics sur les liaisons Rennes-Brest, Rennes-Quimper et St-Brieuc-Auray, puisqu’elles sont les plus utiles aux bretons. 

Les premières conclusions du rapport Duron, Président de la commission Mobilité 21, chargée de hiérarchiser 80 grands projets d’infrastructures en France, confirment l’abandon de bon nombre de lignes à grande vitesse en France, jugées trop couteuses.

Nous nous félicitons de ces annonces qui confirment ce que nous disions depuis longtemps : le modèle du tout TGV n’est pas viable économiquement. Les financements doivent aller à la réhabilitation des voies ferrées existantes et aux déplacements du quotidien.

Si un certain nombre de Lignes à Grande Vitesse apparaît trop coûteux, le projet de nouvelle ligne entre Rennes et Nantes via Notre Dame des Landes semble lui aussi abandonné. L’aéroport de Notre Dame des Landes apparaît encore moins justifié. Nous réaffirmons notre volonté de voir l’actuel aéroport de Nantes optimisé, tout comme la liaison entre Rennes et Nantes via Redon ou Châteaubriant à partir des voies existantes.

Le syndicat mixte aéroportuaire réuni vendredi ne semble pas avoir pris la mesure des premières annonces de la commission Duron et s’entête dans l’illusion, prévoyant même « une gare ferroviaire à Notre Dame des Landes offrant quatre voies à quais, capable d’accueillir des doubles rames de TGV ».

L’aéroport de Notre Dame des Landes ne décollera pas. Il est temps que les efforts financiers se concentrent désormais sur les lignes ferroviaires Rennes-Brest et Rennes-Quimper, que l’Etat semble vouloir délaisser, ainsi que la liaison St-Brieuc-Auray pour un aménagement équilibré de la Bretagne.

Gaëlle Rougier, conseillère régionale de Bretagne, membre du Syndicat Mixte « Aéroport du Grand Ouest »

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