Michèle le Tallec , conseillère municipale et Europe Ecologie les verts du Pays de Saint Malo déplorent évidemment la fermeture du Collège Surcouf à la rentrée 2017.

Il est vrai et nous l’avions souligné au dernier Conseil Municipal, que la démographie scolaire mettait à l’ordre du jour le devenir des 3 collèges malouins dont les effectifs devenaient trop faibles pour permettre un fonctionnement optimal y compris sous l’aspect pédagogique. (Charcot, Chateaubriand et Surcouf)

Cependant avant d’envisager la fermeture, nous aimerions être surs que toutes les autres solutions ont été envisagées

-révision de la carte scolaire pour une meilleure répartition de la population scolaire

-développement de sections à horaires aménagés, liées par exemple aux sports nautiques

-création d’un collège expérimental qui manque cruellement au département d’Ille et Vilaine.

Si toutes ces solutions ne s’avéraient pas pertinentes, ne pouvait-on pas différer cette fermeture (après tout cela fait des années qu’on en parle..) pour accompagner la reprise démographique qui semble s’amorçer à Saint Malo ?

Enfin s’il fallait absolument fermer un collège le signal donné en fermant le collège Surcouf, situé au cœur du périmètre de l’opération ANRU, bénéficiant de moyens pour l’éducation prioritaire, est catastrophique !

Il met à jour un problème de cohérence entre l’action des collectivités : comment comprendre les efforts de la municipalité qui travaille à sortir certains quartiers de l’isolement en y installant des services publics et en y favorisant la construction de logements destinés à l’accession pour les familles, quand, dans le même temps ,le département décide d’y fermer un collège doté de moyens spécifiques, d’une SEGPA, de dispositifs tel que la classe orchestre…

Le secrétaire national intérimaire d’EELV sera en Ille et Vilaine demain et après-demain.

Mercredi 18 mai à Saint –Malo et Vern Sur Seiche

David Cormand sera accompagné par Michel Forget, secrétaire régional d’EELV Bretagne

Saint-Malo. Début d’après midi : Visite dans la Baie du Mont Saint-Michel sur les sites concernés par les risques de submersion marine et leurs conséquences sur le développement des communes littorales. A Saint-Malo, visite des sites « pollueurs » (le port dans la ville) avec Michèle Le Tallec, élue locale.

Contact : Michèle Le Tallec 06 68 68 10 87

Vern sur Seiche. A partir de 17h30 (rdv devant la Mairie) : Visite de terrain  avec Nicolas Deleume, élu local. Exemple de co-construction d’un espace de jardin partagé, passage en 0 phyto, écopastoralisme…

Contact : Nicolas Deleume 06 30 89 80 36

Jeudi 19 mai à Redon

Sixt sur Aff  (Redon) : Visite de l’exploitation « l’Amante verte » de Claire Desmares et Adrien Poirier. Plantes aromatiques bio. Repas à la ferme.

Contact: Claire Desmares 06 46 57 07 88

Les écologistes malouins (EELV) sont, comme beaucoup, indignés par la violence du licenciement de Mr Olivier Bertaud, PDG du Laboratoire de la Mer.

Une fois de plus, le capitalisme financier montre son vrai visage, impitoyable et méprisant à l’égard des entreprises qui produisent et seraient censées servir uniquement le profit des actionnaires ! Le Laboratoire de la Mer est un fleuron de l’activité malouine, employant un personnel de la région malouine, participant à la vie de la cité, travaillant sur les biotechnologies marines spécifiques à notre région. Ces entreprises, trop rares, contribuent à créer et maintenir des emplois qualifiés sur le Pays de Saint Malo et à conserver de l’attractivité à notre région.

Face à de telles pratiques nous partageons les inquiétudes des salarié-es quant à leur avenir et nous leur apportons tout notre soutien dans leur lutte.

A un moment où la ville de Saint Malo cherche à inverser la courbe de sa démographie en faisant revenir des familles, grâce notamment à  des créations d’emplois qualifiés, nous demandons instamment aux collectivités et aux pouvoirs publics de mettre tout en œuvre pour protéger le Laboratoire de la Mer et plus généralement nos entreprises des dérives d’une mondialisation sauvage. Tout cela laisse bien mal augurer de ce que pourraient être les conséquences  d’accords commerciaux transatlantiques appliqués sans aucun souci des réalités locales et des considérations humaines. Ce n’est pas le monde auquel aspirent les écologistes.

Journée de terrain consacrée à présenter les priorités des écologistes en terme d’aménagement du territoire et des zones littorales.

Programme de la journée :

• de 10h30 à 12h. Marché de Rocabey.
  Présence des candidat-es brettiliens et des militant-es écologistes pour présenter les solutions des écologistes pour la Région et inviter à la réunion publique.
• 15h. Mairie de La Gouesnière: Rencontre avec quatre Maires de la Baie du Mont St Michel impactés par les mesures de prévention dû à la submersion.
  Avec Ronan Dantec, René Louail, Marie Pascale Deleume, Didier Chapellon, Marie Pierre Rouger, Michèle Le Tallec.
• Dans l’après midi : visite des sites de la Baie concernés par les risques de submersion.
• 17h30. Conférence de presse à la cafétéria de la Maison des Associations.
  En présence de Ronan Dantec, René Louail, Marie Pascale Deleume, Didier Chapellon, Marie Pierre Rouger
• 18h30. Réunion publique à la Maison des associations (Tract ici)
  « La mer monte…le temps se gâte. Trouvons ensemble les solutions »
  A la tribune: Ronan Dantec, René Louail, Marie Pascale Deleume, Marie Pierre Rouger

Après la réunion : Repas avec des responsables d’associations environnementales locales.

Contact sur place: Michèle Le Tallec : 06 68 68 10 87

Soirée-débat.

A la table ronde interviendront notamment :
– BERNARD CROZEL
président de la commission nationale « Déchets » d’EELV
– MAGALI CORRON
directrice de l’association Air breizh
– Des riverains du chantier

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du futur Palais de Justice à Saint-Malo

TRACT ICI

Groupe local du pays de Saint-Malo

Porte paroles : Laurence Le Guillerm

Secrétaire : Gael Turbé

Contact : saint-malo@eelv.fr

La Régie Malouine de l’Eau doit décider des tarifs applicables à partir du 1er janvier 2015 pour la partie « distribution ». Il faut tout d’abord se féliciter que le retour en régie de ce service, pour lequel nous nous sommes longuement battus, permette désormais que ce prix soit débattu par les élus au sein du conseil d’administration de la régie en présence des associations de consommateurs.
A la fin de l’année 2013, la précédente municipalité avait décidé d’une baisse générale des tarifs. Motivée par l’approche des élections, cette baisse indifférenciée n’a pas permis de concentrer les efforts sur ceux qui en avaient le plus besoin et a consommé toute la marge de manœuvre dont nous disposions. Désormais, il n’est plus possible de procéder à de nouvelles baisses sans dégrader la qualité du service. Pour ces raisons, nous avions contesté les modalités de cette baisse.
Il était encore temps de bien faire en optant pour la tarification sociale de l’eau qui est permise depuis une loi du 15 avril 2013. Celle-ci permet de tenir compte non seulement de la quantité consommée mais également d’autres facteurs (revenus des personnes, composition du foyer…). C’est déjà le cas pour le réseau de bus qui propose ce type de tarification. La baisse serait ainsi ciblée sur les plus modestes et donc supportable par la régie.
Rappelons que le nombre d’usagers reçus par le CCAS de Saint-Malo a augmenté de plus de 62% en 2013 (avec une explosion du nombre de nouveaux usagers, + 142%). Ceux-ci viennent notamment parce qu’ils ne peuvent plus faire face aux factures. Il y a donc urgence à agir. Malheureusement, faute d’avoir sollicité l’autorisation au préfet de mettre en place cette tarification sociale, nous en restons à la tarification actuelle avec quelques aménagements marginaux.
Il reste à espérer que la municipalité fera preuve de plus de volontarisme sur l’assainissement qui représente 56% de la facture d’eau (contre 25% pour la distribution et 19% pour les taxes). En 2015, la ville aura la possibilité de sortir du contrat de délégation avec Véolia et de travailler au retour en régie. Nous retrouverons ainsi la maîtrise de l’essentiel de la facture.
Tribune signée par Michèle LE TALLEC élue municipale EELV et Stéphane PERRIN élu municipal PRG à St Malo

6 octobre 2014

Suite à la manifestation du mardi 24 septembre à Saint- Malo, nous rappelons  que dans les dernières décennies les exploitations se sont agrandies au détriment des petits exploitants et que les charges qui pèsent aujourd’hui sur les légumiers résultent d’un choix d’une agriculture productiviste qui rend l’agriculteur de plus en plus dépendant des banques, des industries agro-alimentaires, et des exportations…. Nous regrettons ce choix, nous regrettons ses conséquences.

Nous condamnons, de ce fait, les méthodes violentes utilisées récemment à Morlaix, violence qui détruit des locaux publics et pénalise des citoyens.
Nous ne pouvons aussi que regretter que les légumiers malouins utilisent encore les méthodes de déversement de pommes de terre : la destruction d’un bien alimentaire est un acte injuste et peu acceptable quand un certain nombre de nos concitoyens connaît des fins de mois difficiles.
Nous souhaitons donc que les rencontres à venir entre les pouvoirs publics et les exploitants légumiers aboutissent à des solutions raisonnables et apaisantes.

Gaël Turbé et Laurence Le Guillerm

Porte-paroles du GL EELV du Pays de St Malo

Communiqué de presse du 24 sept. 2014