Alternatiba  : le village des alternatives à la crise climatique, écologique, sociale et économique. Qu’est-ce qu’Alternatiba ? quelles actions ? quels projets ?
Le Tour Alternatiba va parcourir 5.000 km en France et dans 5 pays européens, du 5 juin au 26 septembre 2015, pour mobiliser des centaines de milliers de personnes autour d’alternatives au dérèglement climatique. Une entreprise solidaire à laquelle on peut participer.

Toutes les infos et contacts:

https://alternatiba.eu/

DANS LES ABERS 5,6 et 7 juin :

Le PROGRAMME : Programme Alternatiba Abers

https://alternatiba.eu/abers/

A RENNES le 27 juin

LE PROGRAMME : VILLAGE ALTERNATIBA RENNES_DERNIERE LIGNE DROITE

https://alternatiba.eu/rennes/

]]> http://bretagne-old.eelv.fr/23-avril-a-plouguerneau-yannick-jadot-a-la-rencontre-des-acteurs-economiques-du-monde-de-la-mer/ Tue, 22 Apr 2014 07:01:42 +0000 http://bretagne.eelv.fr/?p=13253 Affiche Dans le cadre de la campagne des élections européennes, Yannick Jadot, eurodéputé et tête de liste Europe Ecologie ...]]>

Affiche

Dans le cadre de la campagne des élections européennes, Yannick Jadot, eurodéputé et tête de liste Europe Ecologie
pour l’Ouest, accompagné de ses co-listiers finistérien Janick Moriceau et Serge Borvon, rencontrera des acteurs
économiques du monde de la mer à Plouguerneau le 23 avril.

Lieu : Plouguerneau

Candidat-e-s présent-e-s : Yannick Jadot, Janick Moriceau, René Louail, Serge Borvon

Acteurs rencontrés : acteurs économique du monde de la mer (éleveur d’ormeaux, pêcheurs artisanaux, acteurs du tourisme, etc.), en présence du Maire de Plouguerneau.

Déroulé :

• 10h-12h : Rencontre-débat sur les enjeux des activités économiques liées à la mer et au littoral.

Déjeuner sur Plouguerneau.

Retrouvez le programme de la journée ici : com presse Plouguerneau

Janick Moriceau

Serge Borvon

Les groupes locaux Abers Iroise et du Pays de Morlaix d’Europe Ecologie Les Verts associés aux conseillers régionaux EELV condamnent les actions violentes de certains éleveurs, attitudes contre-productives pour l’image de la profession.
Oui, une part importante de l’agriculture bretonne est en crise. Trop d’éleveurs bretons sont dans une impasse financière, en particulier, de jeunes éleveurs. Nous comprenons leur désarroi. Pour autant, nous condamnons ceux qui l’utilisent et favorisent violence et saccage pour arriver à leurs fins : faciliter la concentration des élevages et cyniquement pour certains, profiter de reprises d’entreprises en difficulté. Ne nous leurrons pas, les revendications actuelles – moins de contraintes pour l’agrandissement des élevages, suppression des zones d’excédent structurel- sont des éléments clés de cette stratégie, une stratégie qui n’a rien de collectif !

Oui, il est urgent d’aider les éleveurs à sortir d’un système qui les écrase. Nous ne pouvons pas les enfoncer encore et toujours plus dans l’impasse dans laquelle les conduisent ces nouvelles revendications de dérégulation.  Accepter ces dernières, c’est compromettre l’avenir des jeunes souhaitant devenir agriculteurs qui seront dans l’incapacité de reprendre des exploitations hors de prix et se verront (comme c’est déjà le cas, trop souvent, aujourd’hui) refuser l’accès aux terres. C’est aussi renforcer la pollution des rivières, la production d’algues vertes et fragiliser des élevages ostréicoles.

D’autres  agricultures sont possibles et existent déjà en Bretagne. Dans l’intérêt de tous, choisissons une voie d’avenir et d’expériences avec des enjeux et des perspectives claires pour les agriculteurs, mais aussi pour nos territoires, et non une voie qui conduit à tant de violence et de désespérance.

Les Groupes locaux Abers Iroise et Pays de Morlaix,

René Louail, Yannik Bigouin et Janick Moriceau conseillers régionaux.

NB : Toutes nos propositions sont réunies dans « Le Livre vert des écologistes sur l’agriculture » qui est téléchargeable ici : http://agriculture.eelv.fr/presentation-du-livre-vert-des-ecologistes-sur-lagriculture/

Le Conseil d’état a confirmé le jugement de la cour administrative d’appel de Nantes. Le permis de construire des huit éoliennes de Plouvien ne serait pas valide car ces dernières ne se situent pas « en continuité d’une agglomération ou d’un village existant ».

Cet arrêté, qui s’appuie sur la loi littoral, nous apparaît être d’abord motivé par des considérations anti-éoliennes. En effet, s’il devait être mis en œuvre, c’est aussi l’ensemble des silos agricoles ou des lignes haute tension sur les communes littorales qui devra être démonté. En l’état, cet arrêté est inapplicable.

La loi littoral doit être renforcée et adaptée pour une meilleure protection de la zone côtière. Les activités économiques respectueuses de l’environnement devront dans ce cadre être mieux prises en compte. Enfin, la conférence sur la transition énergétique qui s’ouvre doit être l’occasion de remettre à plat le cadre juridique d’installation des éoliennes et sa mise en cohérence avec les autres lois relatives à la protection de l’environnement.

Guy Hascoët, Anne-Marie Boudou et Yannik Bigouin, conseillers régionaux Europe Écologie Les Verts Bretagne

Centrale à gaz : à peine construite, déjà menacée de fermeture

La revue économique « les échos » vient d’annoncer dans son numéro du 25 avril, l’arrêt  du fonctionnement  de la centrale à gaz de Pont sur Sambre construite il y a 2 ans. Elle intervient après la fermeture d’autres centrales en Angleterre et en Allemagne au motif d’absence de rentabilité consécutive à la montée constante et importante du prix du gaz (+500% entre 2000 et 2011).

La supercherie des arguments avancés pour le projet de Landivisiau est étalée au grand jour. La seule vocation de ces centrales privées est de permettre à ses promoteurs de spéculer sur le marché de l’énergie comme ils l’ont fait sur les marchés financiers. Peu leur importe de fournir de l’électricité.

L’argent public investi dans ce projet serait plus utile à la création d’un service public de l’énergie décentralisé et démocratique, accompagnée d’une action résolue  vers les économies d’énergie, l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables qui sont les seules solutions permettant de préparer l’avenir et de garantir l’accès de tous à la fourniture d’électricité.

Je suis avec EELV et l’UDB aux côtés de ceux et celles qui refusent la centrale de Landivisiau, de ceux et celles qui refusent que leurs existences soient suspendues au bon vouloir des spéculateurs.

Gaëlle Rolland-Chapelain

Candidate EELV soutenue par l’UDB

Circonscription de Landerneau 29.05