Municipales – Commission Culture https://culture.eelv.fr Site Officiel de la Commission Culture EELV Fri, 23 Sep 2016 11:46:57 +0200 fr-FR hourly 1 De la police pour le théâtre https://culture.eelv.fr/2014/04/27/de-la-police-pour-le-theatre/ Sun, 27 Apr 2014 11:54:20 +0000 http://culture.eelv.fr/?p=3988   Mobilisation des professionnels du spectacle vivant, Suite à la décision du nouveau maire de Roanne, Yves Nicolin, de mettre un terme au contrat de Abdelwaheb Sefsaf, directeur du Théâtre de Roanne, les professionnels du spectacle vivant se mobilisent. ...]]>

 

Mobilisation des professionnels du spectacle vivant,

Suite à la décision du nouveau maire de Roanne, Yves Nicolin, de mettre un terme au contrat de Abdelwaheb Sefsaf, directeur du Théâtre de Roanne, les professionnels du spectacle vivant se mobilisent.

 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

C’est en envoyant la police municipale au domicile d’Abdelwaheb Sefsaf, directeur du Théâtre de Roanne, que le nouveau maire de Roanne et député de la Loire, Yves Nicolin a choisi, le 14 avril dernier, de notifier officiellement à notre collègue, sa décision de mettre un terme à son contrat. Simple procédure pour accuser réception dudit courrier expliquera l’édile.

Mais nous qui accordons de l’importance au sens des gestes et des mots, nous affirmons aujourd’hui que cet acte symboliquement fort traduit à merveille l’état d’esprit dans lequel se trouve Monsieur Nicolin vis-à-vis d’un artiste et directeur d’établissement culturel et quel usage il entend faire de son autorité.

Il aurait aussi bien pu nous dire qu’il n’avait pas confiance dans les services de la Poste, cela ne justifierait pas mieux son choix.

Ce geste conclut un processus entamé il y a maintenant plusieurs semaines durant la campagne électorale. Campagne municipale au cours de laquelle Monsieur Nicolin s’est engagé publiquement à remettre en cause le contrat d’Abdelwaheb Sefsaf, arguant du fait qu’être à la fois artiste et directeur du théâtre représenterait un conflit d’intérêts.

Monsieur le maire a donc tenu son engagement, et c’est seulement 4 jours après son élection officielle, soit le 10 avril, qu’il a reçu notre collègue dans son bureau, pour lui faire savoir qu’il le libérait de ses fonctions. Lors de cet entretien, Monsieur le maire a changé son fusil d’épaule, puisque désormais ce n’est plus le cumul des fonctions (artiste / directeur) qui pose problème, mais un vice de procédure. Monsieur Nicolin invoquant une soi-disant caducité du contrat de Monsieur Sefsaf (qui reste à prouver) pour motiver le licenciement.

Ce changement de cap, laisse entrevoir clairement qu’il s’agit plutôt d’une attaque à la personne que d’un problème avec le projet du Théâtre, dont le bilan après un an d’exercice est tout à fait remarquable.

Monsieur le maire, quatre jours après sa nomination a donc fait du limogeage de notre collègue, une priorité absolue.

Si nous nous réjouissons de voir l’importance que Monsieur le maire semble accorder à la culture dans sa ville, nous aurions évidemment préféré que son intérêt s’exprime autrement que par une volonté de fragiliser dès sa prise de fonction un équipement culturel, pourtant en plein essor. Sa méconnaissance du fonctionnement et de la gestion d’un lieu culturel est par ailleurs inquiétante. En effet, rien ne peut justifier le licenciement brutal d’un directeur de Théâtre au cœur d’une saison. Cette éviction risque de fragiliser toute une équipe au moment crucial où la saison prochaine se prépare.

Ainsi nous nous interrogeons aujourd’hui publiquement sur les raisons d’un tel empressement de l’édile à asseoir son autorité? Quels sont les griefs qu’ Yves Nicolin entretient réellement à l’encontre de Monsieur Sefsaf ? Sur quelles bases a-t-il pu construire sa réflexion ?

Dans ces circonstances, pour manifester notre soutien à notre collègue et pour faire entendre notre vigilance totale face à des comportements politiques extrêmes, nous entendons réaffirmer très clairement certains principes :

·         Un artiste peut légitimement diriger un établissement culturel, sans que son activité de création soit une entrave à la charge de ses fonctions de directeur. C’est le cas dans de nombreux Théâtres et Centres Chorégraphiques dont les bilans sont très positifs. Cet argument n’est recevable ni à Roanne, ni ailleurs, et nous ne laisserons pas s’installer le moindre doute à ce sujet. En abandonnant d’ailleurs ce motif, Monsieur Nicolin a, de fait, reconnu son absence de valeur.

·         Le dialogue entre élus et directeurs(rices) de lieux culturels est essentiel à l’élaboration de véritables projets territoriaux et l’intérêt général doit toujours primer sur les querelles de personnes. Nous ne tolérons pas que des élections soient prétextes à des règlements de comptes partisans. Ceci entraîne des décisions hâtives dont les motivations reposent plutôt sur l’affect que sur l’examen consciencieux du bilan de professionnels choisis précisément pour leurs compétences à développer une mission de service public.

Monsieur Sefsaf, nommé par l’équipe municipale qui a précédé Yves Nicolin, n’est pas l’héritier de l’ancienne municipalité et ne saurait être puni au simple titre qu’il a été choisi par des élus d’un autre bord politique.

·         Partout en France, quelle que soit la municipalité et son bord politique, nous ne laisserons pas souffler le vent du populisme, sans faire entendre notre voix. L’art et la culture ne sont pas subordonnés au pouvoir, et les relations entre responsables politiques et établissements culturels doivent garantir le droit fondamental des artistes à la libre expression. Nous entendons réaffirmer notre liberté de choix dans nos programmations, guidés par des critères qualitatifs. Ceci sans avoir à subir des pressions politiques qui remettraient en cause l’équilibre de notre démocratie.

·         Le cadre contractuel, qui régit notre profession et les relations de travail avec les pouvoirs publics, répond à des règles et à des calendriers rigoureux. La remise en cause d’un contrat de travail de manière anticipée, doit répondre à des motivations sérieuses et argumentées. Nous tenons à rappeler qu’ici, comme dans les autres secteurs d’activité, le code du travail et la loi en général, protègent les salariés contre toute sanction qui s’avérerait discriminatoire. A cet endroit, les sanctions prises aujourd’hui à l’encontre de Monsieur Abdelwaheb Sefsaf nous interrogent vivement et nous attendons des éclaircissements précis de Monsieur le Maire quant aux motifs réels de son limogeage.

 

Le Groupe des 20 – Scènes publiques en Rhône-Alpes, Jacky Rocher, président;

Le SNSP, Syndicat National des Scènes publiques, Giuliano Tenisci, membre du conseil syndical;

Le SYNDEAC, Syndicat Nationale des Entreprises Artistiques et Culturelles, Anne Meillon, déléguée régionale;

Le réseau Loire en Scène, Gilles Granouillet, président.

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La culture : un chantier public à ne pas négliger ! https://culture.eelv.fr/2014/02/18/la-culture-chantier-public-ne-pas-negliger/ Tue, 18 Feb 2014 09:51:37 +0000 http://culture.eelv.fr/?p=3948 Communiqué à l'attention des organisations professionnelles   Le 13 janvier, les artistes et les acteurs culturels se sont mobilisés partout en France dans le cadre d'une manifestation \"l'art en campagne\". Lors des BIS de Nantes et de la marche du 10 février dans différentes villes, ils ont dénoncé la baisse du budget du Ministère de la culture et leurs inquiétudes vis à vis de la réforme du protocole UNEDIC à venir. ...]]>

Communiqué à l’attention des organisations professionnelles

 

Le 13 janvier, les artistes et les acteurs culturels se sont mobilisés partout en France dans le cadre d’une manifestation « l’art en campagne ». Lors des BIS de Nantes et de la marche du 10 février dans différentes villes, ils ont dénoncé la baisse du budget du Ministère de la culture et leurs inquiétudes vis à vis de la réforme du protocole UNEDIC à venir.

Les écologistes ont apporté leurs soutiens et participé à ces mobilisations. Ils entendent le profond désarroi des artistes et des professionnels de la culture. Partout en Europe, les budgets publics dédiés à la culture décroissent dans un contexte que l’on ne saurait réduire à une crise économique et financière, mais qui est, en réalité, une crise profonde de société. Plus que jamais, il faut réaffirmer que nous avons tous et toutes plus que besoin des artistes et des diffuseurs de culture.

Certes, il est toujours bon de rappeler que le secteur culturel toujours en croissance représenterait, selon les sources, 3, 5% du PIB européen et prés d’un million d’emplois salariés et non salariés en France. Mais le secteur ne peut se contenter de vouloir contribuer à la sacrosainte croissance. Nous avons trop longtemps perdu de vue ce qui nous rassemble dans ce champ d’actions et légitime des politiques publiques offensives et volontaristes. La reconnaissance et la dignité des personnes, le dialogue interculturel, l’émancipation des individus et la formation de l’esprit critique, le développement de la sensibilité individuelle et collective, autant de nécessités vitales pour chacun-e et pour nos communautés que l’on ne doit pas abandonner aux logiques de marché et à la loi du plus fort !

Les écologistes sont ainsi opposés à la baisse des moyens publics dédiés à la culture et regrettent, depuis 2012 et cette année encore, le choix du gouvernement de baisser un budget national déjà très faible.

Dans ce contexte, les écologistes, fédéralistes et régionalistes ne sont pas opposés de la possibilité de délégation de l’Etat aux Régions et aux EPCI prévue par la loi de modernisation de l’action publique, à condition que l’expérimentation soit consensuelle avec les personnels et très encadrée, sous condition de réversibilité et de non désengagement financier de l’Etat sur le territoire concerné. Cette délégation ne saurait s’apparenter à un renoncement des pouvoirs publics mais plutôt à un rapprochement de la décision publique des citoyens.

Il est aussi urgent d’inscrire la culture dans la campagne des élections municipales alors que les communes et les intercommunalités sont devenues les 1ers financeurs publics de la culture en France ; nous apporterons notre soutien aux débats culturels locaux dans ce cadre.

Nous serons, comme nous l’avons été dans le passé, au plus prés des revendications des intermittents lors des prochaines négociations du protocole UNEDIC considérant que la solidarité interprofessionnelle fait sens dans ce contexte. Nous en appelons par ailleurs à la solidarité intraprofessionnelle en dénonçant les inéquités de moyens pour les équipes artistiques et les abus du star system, notamment les montants de salaires abusifs dans différents secteurs culturels, particulièrement dans le cinéma.

Conscients qu’un chantier complexe est à venir, nous  souhaitons prendre part à toutes les réflexions collectives pour mettre en oeuvre des dispositifs concrets permettant de lutter contre la précarité et de développer les emplois, en faisant appel aux solutions concrètes de l’économie sociale et solidaire.

 

Pascale Bonniel Chalier & Hervé Pérard, co-présidents de la Commission culture EELV

Contact : 06 74 19 24 62 – 06 70 06 93 30

 

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Municipales 2014 https://culture.eelv.fr/2013/11/12/municipales-2014/ Tue, 12 Nov 2013 09:44:32 +0000 http://culture.eelv.fr/?p=3899 Kit Programmatique Qu'elle soit environnementale, économique ou citoyenne, la crise ne cesse d'instrumentaliser les sociétés contemporaines au bénéfice d'une mécanique qui dévore les ressources du futur. A ce vide, l'écologie répond par une politique de l'humain où la culture, ce trait d'union fondamental, œuvre à l'émancipation. ...]]>

Kit Programmatique

Qu’elle soit environnementale, économique ou citoyenne, la crise ne cesse d’instrumentaliser les sociétés contemporaines au bénéfice d’une mécanique qui dévore les ressources du futur. A ce vide, l’écologie répond par une politique de l’humain où la culture, ce trait d’union fondamental, œuvre à l’émancipation.

 

Nos axes

Penser à l’échelle humaine, imaginer des propositions évolutives, dans un usage respectueux de la planète et d’autrui, co-construire !

Mettre en avant les habitants, les citoyens, non la recherche du prestige, du « rayonnement »

Valoriser les cultures dans leur diversité, promouvoir les droits culturels pour tous (plutôt que ressasser l’accès à la culture), reconnaître l’expression de tous les groupes

Miser sur l’humain, envisager la culture comme bien commun et non  comme élément de communication municipale, un vecteur de communication et de marketing politique.

Développer les pratiques de tou-tes, notamment des jeunes, plutôt que multiplier les consommateurs culturels

Lancer la réflexion sur l’art dans la ville, la culture  et l’espace public, développer la commande publique collective et la participation

Rompre avec l’instrumentalisation des artistes, avec le consumérisme culturel et le modèle lié au développement des industries culturelles

 

Notre méthode

Vue la diversité des territoires communaux, et vu que nous oeuvrons pour le maintien d’une grande diversité en tout et pour tout l’idée d’un kit d’une vingtaine de mots donnant accès à des développements plus ou moins longs, évolutifs en tout cas, s’est imposée. Voici des notes dans lesquelles puiser pour la rédaction des programmes municipaux.

Cette nuée de mots est à faire vivre en développant par le récit des expériences ou la présentation des réflexions sur tel ou tel aspect. A faire vivre aussi sur le terrain de la campagne en fonction de son territoire, ses habitants, son histoire, le programme : pas de programme EELV sans quelques lignes sur la culture, vue comme élément constituant des politiques publiques !

Oui, nous affirmons l’importance des propositions culturelles dans les programmes écolos, parce que l’humain, le bien être, le développement de soi dans une relation harmonieuse au collectif font partie de notre engagement politique, que nous considérons la culture comme un bien commun. Et les propositions concrètes, spécifiquement écolos, articulent local et fondamentaux.

 

 Nos thèmes

Artistes (accueil d’artistes en résidence /lieux de création/soutien aux artistes /artistes associés aux missions d’éducation artistique/développer la permanence artistique), consolider les parcours professionnels

Aide à la diffusion et à l’emploi culturel, notamment aux petites entreprises : librairies, bars et télés associatifs,…

Besoins culturels (être à l’écoute des besoins, trouver les méthodes pour qu’ils s’expriment librement, Rompre avec le formatage du goût, le recours aux experts interchangeables)              

Budget (la question de son montant ne fait pas tout ! sa répartition est à prendre en compte : re-équilibrage ! re-équilibrage entre institutions et associations, entre les formes artistiques et culturelles, entre les zones géographiques…)

Carte culture (pour mutualiser et mêler les publics, l’offre culturelle ne règle rien, celle-ci doit s’adosser à un dispositif de médiation pour éviter l’effet d’aubaine),

Co construction (prévoir des espaces et des temps pour associer artistes, citoyens, habitants, salariés, services municipaux ; créer des conseils d’usagers dans les équipements culturels, lancer des assises de la culture, mettre en place une commission de répartition des subventions. Mettre en débat et favoriser la vie culturelle, ex : jurys citoyens d’attribution des aides…)

Culture numérique : encourager l’éducation aux nouveaux outils (appropriation, enjeux de citoyenneté, données personnelles), à la culture du partage, soutenir l’innovation et favoriser la transversalité, données publiques ouvertes et dispositif Villes en Biens Communs

Développement durable (mise en place d’une charte environnement et solidarité, création d’un éco-label. conditionner les subventions au respect de la charte)

Diagnostic et inventaire de territoire : écoute modulée des acteurs du territoire, étude de la répartition des équipements sur la commune. Evaluer les budgets en termes de création, diffusion, investissement. S’interroger sur le nombre d’artistes, leur situation

Diversité : rompre avec la standardisation, les politiques de diversité doivent émerger des territoires.

Economie sociale et solidaire : améliorer l’aide aux associations culturelles et aux couveuses d’entreprises, solidifier les subventions par des conventions

Education artistique et culture scientifique : établir une continuité d’apprentissage entre intervenants et enseignants dans un même projet éducatif (scolaire, périscolaire et extrascolaire).

Education populaire : l’apprentissage des savoirs sociaux n’est en rien secondaires. Réconcilier dans une même politique d’éducation les dispositifs municipaux (transversalité, mutualisation)

Equipements (leur format, leur fonction, leur mode de gestion : les confier à qui, pour quoi faire ? nomades, itinérants, pourquoi pas ! questionner l’institution), les politiques publiques ont largement privilégié les équipements au détriment de la production

Espace public et lieux intermédiaires, encourager l’appropriation collective des espaces de travail et d’expression, les fabriques de culture et les dispositifs hors les murs

Festivals, événements thématiques : soutenir les évènements ponctuels qui souhaitent inscrire leur action dans la durée

Les pratiques artistiques (développer les pratiques, donner les occasions et les lieux pour développer ses possibles, et, de fait, rompre avec le consumérisme culturel et le modèle lié au développement des industries culturelles)

Mutualisation (des moyens, des lieux, de la part administrative) : favoriser les réseaux associatifs ou d’entreprises constitués ou émergents, recenser et mettre en cohérence des dispositifs municipaux entre eux et avec les dispositifs étatiques et régionaux.

Parité (à la tête des établissements conventionnés ou subventionnés, mais aussi dans la programmation artistique), produire des statistiques genrées, soutenir les initiatives de sensibilisation aux discriminations.

Patrimoine : quelle vision ?

Solidarité internationale (échanges artistiques coopératifs)

Transversalité (liens avec d’autres secteurs : urbanisme, transports, espaces verts, politique de la ville, éducation, etc)

 

 

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Rhône-Alpes : Convention régionale municipales 2014 https://culture.eelv.fr/2013/10/19/rhone-alpes-convention-regionale-municipales-2014/ Sat, 19 Oct 2013 17:34:11 +0000 http://culture.eelv.fr/?p=3927 samedi 19 octobre à Vizille (38220) « Construire son projet / Partir en campagne » Vivre mieux dans ma commune : c’'est possible avec les écologistes ! Mais que dire pendant la campagne ? Que faire après ? Autour d’élu/es témoin et d’intervenant/es spécialistes, soyons nombreux à échanger sur nos projets pour 2014. élu/es sortant/es ou futur/es candidat/es, ruraux ou urbains, en autonomie ou dans des alliances… chacun aura sa place dans cette journée. Les dimensions intercommunales et de participation des citoyens seront abordées transversalement. ...]]>

samedi 19 octobre à Vizille (38220)

« Construire son projet / Partir en campagne »

Vivre mieux dans ma commune : c’’est possible avec les écologistes ! Mais que dire pendant la campagne ? Que faire après ? Autour d’élu/es témoin et d’intervenant/es spécialistes, soyons nombreux à échanger sur nos projets pour 2014. élu/es sortant/es ou futur/es candidat/es, ruraux ou urbains, en autonomie ou dans des alliances… chacun aura sa place dans cette journée. Les dimensions intercommunales et de participation des citoyens seront abordées transversalement.

Programme

9h-9h30 : accueil

Introduction de la journée par Lionel Coiffard, maire de Vizille et Bruno Bernard, secrétaire régional d’EELV

9h30-10h30 : plénière

– être élu/e écologiste dans une municipalité

=> Lionel Coiffard, maire de Vizille
=> Béatrice Vessiller, tête de liste écologiste à Villeurbanne, conseillère du Grand Lyon et conseillère générale du Rhône
=> Hervé Özil, maire de Lagorce
=> Monique Cosson, conseillère municipale à Ste-Foy-lès-Lyon, conseillère régionale

10h45-12h30 : ateliers au choix

tranquilité publique

=> intervenante : Véronique Bourdais, adjointe à Montreuil
=> élu témoin : Lilian Zanchi, ex-adjoint à Villeurbanne

– urbanisme

=> intervenant : Jean-David Abel, adjoint à Romans-sur-Isère
=> élue témoin : Véronique Toutant, adjointe à St-Germain-au-Mont-d’Or

– finances / gestion du personnel municipal

=> intervenant : Olivier Bouret, conseiller municipal de Moirans, administrateur territorial
=> élu témoin : Lionel Coiffard, maire de Vizille

[déjeuner]

13h30-15h15 : ateliers au choix

cantines et rythmes scolaires

=> intervenantes : Annie Vuillermoz, conseillère municipale du Touvet et Catherine Brette, conseillère générale de l’Isère

– services publics

=> intervenant : Georges Oudjaoudi, conseiller municipal de St-Martin-d’Hères

=> élu témoin : Thierry Lehnebach, ancien maire de Montferrat, membre du cabinet du Pays Voironnais

– culture

=> intervenante : Pascale Bonniel-Chalier, conseillère municipale de Lyon et conseillère du Grand Lyon

=> élu témoin : Paul Vernay, Maire de Pérouges 

15h30-16h30 : plénière

–  Partir en campagne, mutualiser les bonnes idées

=> Isabelle Maistre, Bourg-en-Bresse
=> Eric Piolle, Grenoble
=> Danièle Falchier, Voiron
=> Vincent Meyer, Villefranche

Conclusion de la journée

par Maryse Oudjaoudi, déléguée aux élections pour EELV Rhône-Alpes

 

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