Développer le cloud de proximité

La sécurisation des données numériques est une problématique forte pour les entreprises mais aussi pour les institutions et les particuliers. Il appartiendra à la future Région de favoriser le développement d’un cloud de proximité.

2 réponses à “Développer le cloud de proximité”

  1. Oui pour le cloud local !
    Cea permettrait à nos artisans, startups, universités, écoles, chercheurs et autres utilisateurs des outils internet distribués d’accéder à une plateforme par forcément dans les mains des sociétés qui s’accaparent l’ensemble des informations libres ou pas d’Internet. Visiblement nous ne pourrons pas créer un Google à l’Européenne, mais peut être que nous arriverons à créer un Cloud régionalisé, départementalisé et voir jusqu’à localisé dans ville ou des association pourront hébergé des serveur.
    Pourquoi ne pas mettre en place une Fédération des « Cloudiste » pour mettre en place logiciel (libre) et mise au point d’une répartition des ressource sur le territoire. Cela permettrait de fiabiliser le réseaux, de limiter la distance de transfert (et d’une certaine manière évitera d’avoir à consommé trop de puissance pour offrir un service comparable).

  2. Bonjour,

    Autour de cette réflexion quelques remarques :
    il existe des schémas directeurs d’aménagement numérique dans quasiment toutes les régions à ce jour.
    Je pense donc qu’il faudrait regarder plus précisément celui qui est en cours et l’orienter vers des objectifs qui nous soient propres.
    Sur le Gers nous avons regardé de près celui qu’a proposé le CG32.
    En particulier à partir du travail fait par
    http://www.armagnet.fr/
    et nous avons pensé, lors des dernières élections départementales, à proposer que des syndicats mixtes numériques quadrillent le territoire.
    C’est-à-dire qu’après avoir mis en place les tuyaux, en gros de la fibre sur certains axes bien choisis, il faudrait permettre de contrôler les contenus grâce à des régies publiques.
    Et j’en viens à votre proposition : ne pas laisser cela au secteur privé.
    En bref, on peut considérer que le numérique est un bien commun au même titre que l’eau ou l’énergie et donc que l’on se doit de le gérer à e titre.
    Prêt à discuter plsu précisément de cette proposition de syndicats mixtes numériques.
    Sur la mise en place de cloud local : c’est un peu antagoniste, à mon avis, avec l’idée du cloud. mais par contre l’idée de maîtriser et l’infrastructure et les services revient à une régie régionale. Une SCIC pour des DATA CENTER dans tous les dpts est une idée bien intéressante !
    A++
    P.Levieux

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Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

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