Montagne
INTER-RÉGIONALITÉ ET PYRÉNÉES
Pour assurer une interrégionalité aux Pays limitrophes pour assumer l'intégrité des Pyrénées. IL EST CLAIR QUE TANT LA QUESTION DE LA DÉLIMITATION DES RÉGIONS QUE CELLE DE LA LOI ELECTORALE QUI S'APPLIQUE À LA DÉSIGNA …lire la suite…
Retrouver la cohérence de la loi montagne
En 1985, la loi Montagne établissait un cadre législatif original et essentiel en termes d’aménagement et de protection. Elle se voulait avant tout une loi du double équilibre aménagement/protection et agriculture/touris …lire la suite…
Relation entre Mende et la Préfecture de Région
Personne ne s'est encore rendu compte, n'a anticipé que le transfert de la préfecture de région de Montpellier à Toulouse aurait des conséquences sur l'orientation des flux de déplacement et donc l'intensité d'utilisatio …lire la suite…
Pour une politique de diversification de l’offre touristique dans les territoires de montagne
La Région Midi-Pyrénées a lancé en 2012 une étude ambitieuse sur l'Évolution et l'Adaptation de l’Économie du Tourisme et des Loisirs au changement climatique dans les territoires de montagne de la région Mid …lire la suite…
Relier directement Mende à Toulouse par le train à nouveau
Il existait jusque dans les années 80 une relation ferroviaire Lyon - Toulouse par Saint-Etienne, Le Puy, Langogne, Mende, Rodez, Albi, qui fut une relation estivale connue des touristes étrangers. Il fallait alors 5 h …lire la suite…
Ours et service civique
Oui à la biodiversité, non à laisser les bergers seuls face à l'ours ! Envoyons des jeunes en service civique soutenir les bergers et leurs patous. …lire la suite…
Traction animale
Pour lutter contre le dérèglement climatique, se préparer à la fin de l'utilisation du pétrole, valorisons la traction animale dans les exploitations agricoles et forestières. De plus cela économisera la réalisation de …lire la suite…
POLITIQUE VISUELLE
Application de la loi sur l’affichage publicitaire sur toute la région. …lire la suite…
Les pages de consensus
Notre démarche
La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.
Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.
Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.
Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.
La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.
Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.
C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.
Je soutiens l'initiative
La dynamique citoyenne pour un projet en commun est soutenue par