- Un désengagement massif de l’Etat sur l’enseignement supérieur, la recherche, l’innovation, les transports alternatifs à la route ; il demande une fois de plus à notre collectivité de panser les plaies de domaines qui ne sont pas de sa compétence.

- Il donne malheureusement la priorité aux travaux routiers au détriment du rail et accepte l’élagage drastique de notre réseau ferré, condamnant l’Auvergne à devenir un cul-de-sac ferroviaire. Par ailleurs, il s’obstine sur la LGV Paris Orléans Clermont Lyon (6M€ d’études à financer) et refuse d’étudier des solutions alternatives beaucoup moins coûteuses.

En France, l’Auvergne est le parent pauvre de ce volet mobilité, le maltraité, le dindon de la farce. Où sont les promesses du gouvernement qui avait annoncé un investissement financier de l’Etat réparti au 2/3 sur le fer et le fluvial et à 1/3 sur les routes ? Hors crédits RFF, nous sommes à 19% rail et 81% route en Auvergne quand nos voisins de la Région Centre atteignent presque ¾ sur le ferroviaire et la Région Rhône-Alpes 55% !

- Il engage des centaines de milliers d’€ pour « étudier » la fusion avec Rhône-Alpes après l’avoir imposée... De qui se moque-t-on ?!