Affaires – Pour la transparence
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TRANSPARENCE

« L’élu écologiste d’Albi Pascal Pragnère annonce qu’il filmera le prochain conseil municipal en direct live »

Article Le Tarn Libre – Publié le 19/04/2017

Elu d’Europe Ecologie – Les Verts, Pascal Pragnère a annoncé que « dans un esprit de transparence totale », il filmera le prochain conseil municipal d’Albi, lundi 24 avril, en direct live et diffusera les images sur sa page Facebook (https://www.facebook.com/pragnere). Le conseiller écologiste a par ailleurs indiqué que suite à son action en référé, le Tribunal Administratif de Toulouse, par une ordonnance en date du 17 mars 2017, a suspendu la modification de l’article 5 du règlement intérieur du Conseil Municipal d’Albi qui rallongeait le délai du dépôt des questions orales de 2 jours à 5 jours (…) Lire la suite en ligne


AFFAIRES

« L’achat d’une maison à la famille d’un élu fait des vagues »

Article La Dépêche du Midi – Publié le 17/09/2016

L’agglo a acquis une propriété à Pratgraussals pour le chantier de la passerelle. La maison appartenant à la famille d’un élu, a coûté 50 % plus cher que l’estimation des Domaines.

La future passerelle sur le Tarn suscite une belle polémique. Non pas sur l’utilité du projet mais sur l’une des conséquences : le rachat par l’agglo d’une maison située sur la rive droite, à Pratgraussals, là où l’ouvrage aboutira. La bâtisse et son terrain sont acquis 300 000 € par la C2A alors que l’estimation des Domaines fait état d’une valeur de 203 500 €, soit une différence de 50 %. Mais ce qui intrigue c’est que les anciens propriétaires sont les parents d’un adjoint au maire d’Albi… d’où les nombreuses questions de l’opposition. Le président de l’agglo se défend de tout conflit d’intérêts et assure que le prix de la transaction permettra au final, de réaliser des économies. Il s’étonne que le sujet revienne à la surface dix mois après son vote en conseils municipal et d’agglo.

Pour Fabien Lacoste, élu PS, cette transaction a pourtant de quoi étonner : «Nous l’avons découverte en commission municipale. Quand j’ai vu le montant, j’ai demandé qui était le propriétaire. Je peux vous assurer que la réponse de la majorité a jeté un très grand froid. À ce jour, il n’y a pas de projet pour cette maison. On nous a dit que les piétons auraient depuis la passerelle une vue sur l’intérieur de la propriété. Compte tenu du lien familial avec un élu municipal, il y a de quoi d’un point de vue éthique se poser des questions.»

Roland Foissac, élu PC, s’interroge aussi : «C’est au-dessus de la valeur des Domaines alors que dans le même temps, la municipalité vend à un promoteur des bâtiments situés derrière la mairie, au-dessous du prix des Domaines.» L’écologiste Pascal Pragnère parle de «vente inacceptable» et de «cadeau» : «Il y a deux poids deux mesures avec l’argent du contribuable.»

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« Coup de théâtre dans l’affaire Belarbi »

Article La Dépêche du Midi – Publié le 06/12/2016

Coup de théâtre dans l’affaire qui oppose depuis plus de cinq ans un gardien de cimetière à son employeur la ville d’Albi. Le 15 novembre dernier, la cour de cassation de Toulouse a renvoyé toute l’affaire à Bordeaux pour réexamen.

Employé au service des cimetières d’Albi, Jean-Pierre Belarbi avait été révoqué par la ville en septembre 2011, quelques jours après un accident du travail. Accident de travail que la ville n’a jamais voulu reconnaître, décidant de révoquer son agent, pendant son arrêt maladie, sur la base de 69 griefs dont certains remontant à 1985. Sans salaire depuis sa révocation, maison saisie et divorce acté, Jean-Pierre Belarbi vit depuis dans une caravane. Mais l’homme n’a jamais cessé de se battre pour faire reconnaître la faute de la ville, dont le sous traitant, qui travaillait sans la certification indispensable sur un chantier du cimetière, l’avait heurté avec un godet de sa machine, provoquant une rupture des ligaments du genou.

(…)

Hier, Fabien Lacoste (PS), et Pascal Pragnère (Verts), élus d’opposition de la ville, qui soutiennent l’employé depuis longtemps, en convenaient : «Notre collectivité a failli à son devoir».

Lire l’article en intégralité sur le site de la Dépêche du Midi