Michel Balbot » Actualité nationale http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr Candidat du rassemblement à gauche sur Guingamp Fri, 08 Jun 2012 21:51:56 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.4.2 « La transition écologique aura sa feuille de route précise » par Marie-Hélène Aubert, chargée du pôle environnement auprès de François Hollande http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/la-transition-ecologique-aura-sa-feuille-de-route-precise-par-marie-helene-aubert-chargee-du-pole-environnement-aupres-de-francois-hollande/ http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/la-transition-ecologique-aura-sa-feuille-de-route-precise-par-marie-helene-aubert-chargee-du-pole-environnement-aupres-de-francois-hollande/#comments Wed, 09 May 2012 08:43:52 +0000 Michel BALBOT http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/?p=1140 http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/05/08/la-transition-ecologique-aura-sa-feuille-de-route-precise_1697770_3244.html

 

LE MONDE |  • Mis à jour le 

Par Propos recueillis par Marie-Béatrice Baudet et Laurence Caramel

 

Pendant la campagne présidentielle, Marie-Hélène Aubert a dirigé le pôle « Environnement, développement durable et énergie » auprès du candidate socialiste. Membre du Parti socialiste, elle a commencé à travailler avec François Hollande à l’été 2009 après avoir quitté les Verts. De 1997 à 2002, elle a été députée d’Eure-et-Loir. Elle présente au Monde le projet écologique du président élu.

Marie-Hélène Aubert, chargée du pôle environnement auprès de François Hollande, à Paris, le 7 mai.

 

Dimanche 6 mai, à Tulle, François Hollande a rappelé l’urgence à mener la« transition écologique ». Comment la définissez-vous ?

Nos modes de développement et de consommation ne sont pas durables, car ils mobilisent trop de ressources naturelles. Je pense aux énergies fossiles en particulier, qui contribuent au réchauffement climatique. Nous rejetons aussi énormément de déchets et nos ressources en eau sont fragiles. Nous devonsveiller à les préserver.

L’objectif est de définir un nouveau modèle de développement écologique, mais aussi social: il faut intégrer ce surcoût que produit l’exigence environnementale dans une politique de redistribution. Il ne doit pas y avoir de contradiction entre le social et l’écologique. Il ne s’agit pas d’une rupture brutale, imposée d’en haut mais au contraire d’un processus démocratique. Nous devons prendre le temps d’examiner toutes les données, d’en débattre afin d’élaborer la meilleure feuille de route, le meilleur compromis possible pour cette transition.

Vous relancez un grenelle de l’environnement ? Quel bilan d’ailleurs en faites-vous ?

Nous avons auditionné nombre d’acteurs du Grenelle afin de savoir ce qui, selon eux, méritait d’être conservé ou amélioré.

Notre philosophie est de placer le dialogue environnemental au même niveau que le dialogue social. C’est pourquoi nous organiserons une « Conférence environnementale » à six : les cinq du Grenelle, auxquels viendront se joindre des représentants du Parlement, car le lien avec les élus a été un des problèmes dans la mise en œuvre du Grenelle.

Nous souhaitons aussi établir une régionalisation du processus de dialogue. Il fautsortir des réunions de salon dans les ministères et traiter plutôt de ces problématiques au niveau des régions qui ont toutes leurs spécificités.

Nous fixerons, bien sûr, un agenda. Il est impossible de traiter tous les sujets à la fois. Des priorités sont nécessaires.

Et le bilan du Grenelle ?

Le dialogue transversal a bien fonctionné, mais rappelons que cette idée était celle des ONG. Elle n’avait pas germé d’un seul coup dans la tête de Nicolas Sarkozy. Malheureusement, ce dialogue n’a duré que quelques mois. On a abouti à une loi Grenelle I, assez consensuelle. En revanche, le processus a commencé à pécher avec la loi Grenelle II, dont la publication des décrets a traîné en raison du poids des lobbies concernés par telle ou telle mesure.

Allez-vous en faire l’audit ?

Oui, car nous avons besoin d’une synthèse claire pour bien hiérarchiser nos priorités d’action.

Quelles sont ces priorités ?

François Hollande a fait de la transition énergétique un enjeu prioritaire. C’est la première étape que nous mènerons au sein de la Conférence environnementale. Le nucléaire, qui avait été exclu des sujets du Grenelle, y sera traité.

Concrètement, le débat sur l’énergie devrait être lancé à l’automne et durera au moins six mois. Il donnera lieu à une loi votée au printemps 2013.

Il nous faut d’abord constituer un comité national organisateur dont l’indépendance ne pourra pas être contestée, et qui recevra une lettre de mission précise.

Pour autant, un certain nombre d’objectifs ont d’ores et déjà été fixés comme la mise aux normes énergétiques d’un million de logements par an (600 000 dans le parc ancien et 400 000 dans le neuf) ; la sobriété énergétique ; l’essor des énergies renouvelables (etc.). Concernant ces dernières, je peux vous dire que nous n’attendrons pas l’été 2013 pour réinstaurer un cadre réglementaire stable, visible et incitatif pour l’ensemble des filières (photovoltaïque, éolienne, etc.). Tous les acteurs le réclament. Il y a énormément d’emplois en jeu. Mais il ne s’agit pas de grever les finances de l’Etat.

Est-ce que la France a les moyens de faire face à la concurrence chinoise avec des subventions qui pèseront sur le budget du pays ?

Pas question de créer une économie subventionnée ad vitam aeternam. Ces filières sont naissantes, elles ont besoin d’un soutien transitoire. Certains acteurs industriels estiment qu’elles pourraient être rentables et compétitives d’ici à 2017. La France a des atouts, du savoir-faire, et nous encouragerons la recherche et l’innovation. Et la filière solaire, ce n’est pas uniquement la fabrication des panneaux.

Quels sont les autres dossiers urgents, selon vous ?

La biodiversité, l’eau, l’agriculture durable. Il faut une méthode de concertation qui nous permette d’avancer vraiment et de sortir d’une logique de confrontation entre écologistes et agriculteurs.

Même avec la puissante Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) qui a montré, ces derniers mois, son hostilité à toute contrainte environnementale ?

Les choses bougent sur le terrain. Il faut s’appuyer sur les initiatives locales pourfaire évoluer les états d’esprit. Le monde agricole a besoin de reconnaissance. Beaucoup de ses filières sont en crise.
Une réforme de la politique agricole commune [PAC] est en cours. La France peutavoir, dans ce domaine, une position forte pour que les pratiques vertueuses soient valorisées, soient « payantes » dans tous les sens du terme.

Quel serait, selon vous, le périmètre idéal du futur ministère de l’écologie ? Faut-il par exemple lui adjoindre l’agriculture ?

Cette question est du ressort du chef de l’Etat et de son futur premier ministre, qui sera d’ailleurs en charge du dossier de la transition écologique. Mais il est clair que nous aurons besoin d’une transversalité très forte.

Comment allez-vous financer cette transition écologique ?

Plusieurs pistes existent. La réforme fiscale annoncée par François Hollande aura un versant écologique important avec l’instauration de bonus-malus, du principe pollueur-payeur et d’une réflexion sur l’évolution du financement de la protection sociale qui pourrait à terme notamment s’appuyer sur la création de taxes sur les différentes sources de pollution.

La réduction progressive des niches fiscales défavorables à l’environnement sera aussi une source de revenus. De même que la mise aux enchères, le 1er janvier 2013, des quotas de COsur le marché européen. Il est important de penser la transition énergétique à l’échelon européen, et c’est aussi à ce niveau que des fonds devront être mobilisés.

François Hollande est, comme Nicolas Sarkozy, partisan d’une instauration d’une taxe carbone aux frontières de l’Europe. L’Union doit-elle s’armercontre le dumping environnemental des pays en développement ?

L’Europe doit se protéger contre le dumping social et environnemental. Elle ne peut pas avoir un haut niveau d’exigences environnementales et laisser ses portes ouvertes à la production de pays qui ne respectent pas ces mêmes normes.

Pour que cette demande de réciprocité soit acceptable, il faut que les pays riches assument aussi leurs responsabilités vis-à-vis des pays pauvres en augmentant leurs aides pour les accompagner dans un modèle de développement durable.

Propos recueillis par Marie-Béatrice Baudet et Laurence Caramel

]]>
http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/la-transition-ecologique-aura-sa-feuille-de-route-precise-par-marie-helene-aubert-chargee-du-pole-environnement-aupres-de-francois-hollande/feed/ 0
Déclaration de François Hollande à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/declaration-de-francois-hollande-a-lissue-du-premier-tour-de-lelection-presidentielle/ http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/declaration-de-francois-hollande-a-lissue-du-premier-tour-de-lelection-presidentielle/#comments Sun, 22 Apr 2012 20:41:27 +0000 Michel BALBOT http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/?p=932

 

 

 

 

 

 

 

]]>
http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/declaration-de-francois-hollande-a-lissue-du-premier-tour-de-lelection-presidentielle/feed/ 0
Déclaration d’Eva Joly à l’issue du premier tour de l’élection présidentielle http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/declaration-deva-joly-a-lissue-du-premier-tour-de-lelection-presidentielle/ http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/declaration-deva-joly-a-lissue-du-premier-tour-de-lelection-presidentielle/#comments Sun, 22 Apr 2012 20:27:06 +0000 Robot http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/?p=803 IMG_2221_redimensionner

 

Mes chers et chères compatriotes. Les urnes ont parlé.

Je tiens à remercier avec chaleur le million de Françaises et de Français qui m’ont apporté leur suffrage, et ce faisant ont défendu par leur vote l’écologie, l’Europe, et la république exemplaire.

Le score du Front national est une tache indélébile sur les valeurs de notre démocratie, une menace pour la république, un avertissement que chaque responsable politique doit entendre.

Je veux dire à celles et ceux qui se sont laissé abuser par le Front national, qu’ils se trompent de colère.

Je veux dénoncer les apprentis sorciers de l’identité nationale, qui à force de discours de division et de haine ont permis à l’extrême-droite de faire son plus haut score dans une élection présidentielle.

Je veux redire ce soir, que l’écologie est bien le grand défi du temps qui vient. Aucune politique ne pourra réussir sans entamer d’urgence une transition écologique basée sur la conversion de l’économie, la lutte contre le réchauffement climatique, le choix des énergies renouvelables et la protection des écosystèmes.

Chacun doit désormais prendre ses responsabilités.

J’appelle, dès à présent, toutes celles et ceux qui ont voté pour moi, et au-delà, toutes celles et ceux qui sont attachés aux valeurs de la république, à tout faire pour que notre pays sorte enfin du sarkozysme, en se rassemblant autour de la candidature de François Hollande, qui doit désormais porter toutes les couleurs de la gauche et des écologistes.

Je vous appelle à faire des 15 jours qui viennent, 15 jours de mobilisation permanente. La belle date du 1er mai doit être une symbole de justice et de fraternité contre l’extrême-droite et ses idées, marquant notre volonté de reconquête républicaine.

Par ce soutien sans ambiguïté, je veux signifier qu’il nous faut restaurer les valeurs de la république, lutter contre l’esprit de clan qui a prévalu ces cinq dernières années, redonner un souffle à notre démocratie et à nos institutions pour rétablir un lien de fierté et de confiance entre notre pays et ses représentants politiques.

Il y va de la morale républicaine : la défense de privilèges indus, l’absence de respect des règles qui fondent notre morale publique doivent d’urgence connaître un terme. Il y va surtout de l’intérêt général : notre pays doit retrouver le sens du bien commun.

Mais il ne s’agit donc pas simplement de battre un homme. Il faut qu’une société nouvelle voit le jour, porteuse d’un modèle de développement plus respectueux des êtres humains et de la planète. Dans les semaines et les années qui viennent, les écologistes continueront à agir à vos côtés en ce sens.

Nous voulons donc construire une nouvelle majorité, rassemblant la gauche et les écologistes bien au-delà du seul parti du président. Cette majorité devra être une majorité de combat.

Une majorité de combat, pour la justice d’abord : la répétition des solutions classiques n’est plus possible. Il faudra de l’imagination et de la détermination, pour ne pas retomber dans les ornières du passé et décevoir l’espoir de nos compatriotes. La justice devra être la boussole de la nouvelle majorité.

Une majorité de combat, pour l’Europe ensuite : sans une nouvelle ambition européenne, rien ne sera possible. Il faut un nouveau traité européen qui mette enfin la solidarité et l’écologie au cœur de la construction européenne. L’Europe doit redevenir un espoir pour les Françaises et les Français.

Une majorité de combat pour l’écologie enfin : la France doit sortir du nucléaire, lutter contre le dérèglement climatique, convertir son économie au développement durable et faire de la protection de l’environnement un principe de gouvernement.

La France est une belle nation, une nation citoyenne fondée sur la liberté, l’égalité et la fraternité, mises à mal par le président sortant. Faites que par votre vote du second tour, notre pays retrouve le chemin de la justice et de l’avenir.

Eva Joly

]]>
http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/declaration-deva-joly-a-lissue-du-premier-tour-de-lelection-presidentielle/feed/ 0
« Facenuke », la cartographie du lobby nucléaire français http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/facenuke-la-cartographie-du-lobby-nucleaire-francais/ http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/facenuke-la-cartographie-du-lobby-nucleaire-francais/#comments Tue, 17 Apr 2012 20:12:35 +0000 Michel BALBOT http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/?p=1066 Article du journal le Monde du 16 avril 2012 relatif au site http://greenpeace.fr/facenuke/

Quel est le lien entre l’ancienne patronne d’Areva Anne Lauvergeon, le géochimiste Claude Allègre et le député-maire de Cherbourg Bernard Cazeneuve ? Et celui entre Augustin de Romanet, ancien directeur général de la Caisse des dépôts et consignations, Henri Proglio, PDG d’EDF, et Elie Cohen, économiste, directeur de recherche au CNRS et membre du Siècle ? Le nucléaire. Tous sont directement connectés via les sociétés, institutions et associations promouvant l’atome auxquelles ils appartiennent. Voilà ce que montre Greenpeace dans un nouvel outil interactif, Facenuke, qui met à jour les réseaux de l’industrie énergétique et nucléaire française.

 

Pour construire cette gigantesque carte – qui permet de naviguer entre les individus via leurs connections mais aussi d’accéder aux biographies – les profils publics de 250 hommes et femmes ont été passés au crible. La sélection des personnalités a été établie à partir de cinq critères précis, indique l’ONG : « Un mandat actuel ou récent (environ cinq ans) dans un conseil d’administration, de surveillance, un poste de direction dans un grand groupe, la présence dans un centre de recherche, l’adhésion à une association ou encore un mandat dans une autorité de régulation, etc. ; un mandat passé significatif ; l’adhésion ou un mandat actuel dans une organisation politique ; l’adhésion ou un mandat passé à une organisation politique ; la formation. » Les liens financiers ou les contacts avec des élus locaux, par contre, n’ont pas été pris en compte.


Le résultat : une carte au maillage tant ample que dense. « Cet outil permet de prendre conscience que le secteur du nucléaire est plus qu’un lobby : il fonctionne comme une sorte d’Etat dans l’Etat, analyse Karine Gavand, chargée des questions politiques chez Greenpeace. Il s’est autonomisé et renforcé depuis sa construction dans les années 1970. Il se régénère en recyclant les retraités et formant la relève. »

De fait, les fervents défenseurs de l’atome ont investi tous les cercles de pouvoir et d’influence, au plus haut niveau. Les grandes entreprises, bien entendu : Areva, qui construit les centrales, EDF, qui les exploite, Eiffage, Bouygues, Vinci, Lafarge, Schneider, ou Veolia Environnement qui sous-traitent certaines phases de la construction, exploitation ou gestion des déchets.

Mais au-delà du secteur industriel, ce sont aussi les centres de recherche qui sont concernés (CNRS, CEA), les partis politiques (UMP et PS), les banques et assurances (Axa, BNP Paribas, Crédit agricole, Dexia, Natixis), les organismes financiers (Caisse des dépôts et consignation, Fonds stratégique d’investissement), les grandes formations d’ingénieurs (essentiellement Polytechnique-Ecole des mines, mais aussi X-Ponts et chaussées et l’ENA), ainsi qu’une myriade d’associations officiellement écolo (Association des écologistes pour le nucléaire, Fédération environnement durable, Sauvons le climat).

Les principaux rouages de ce réseau (ceux figurés par un gros point) sont pour certains connus : Nicolas Sarkozy, Luc Oursel (PDF d’Areva), Henri Proglio (PDG d’EDF), Anne Lauvergeon ou Marcel Boiteux (qui a dirigé pendant vingt ans EDF et lancé le programme électro-nucléaire français, et est maintenant à la tête de la Fédération de l’environnement durable). Mais quelques unes des personnalités autour desquelles se tissent les réseaux restent inconnues du grand public, telles que Colette Lewiner, directrice de la branche Energies dans le cabinet de conseil Capgemini après avoir travaillé successivement chez EDF et à la Cogema (ex-Areva) ou Bruno Bensasson, membre du comité exécutif de GDF Suez.

« Ce réseau déployé à tous les postes stratégiques, avec des individus qui ont plusieurs casquettes, explique l’inertie de la politique énergétique française, assure Karine Gavand. On a un même système de pensée qui est constamment défendu, transmis et reproduit par toutes les strates du pouvoir. » Et de citer une étude publiée par Capgemini, juste après la catastrophe de Fukushima, assurant que le développement de la filière nucléaire allait se poursuivre dans le monde malgré l’accident, tandis que que la sortie progressive de l’atome par l’Allemagne constituait une menace pour la sécurité d’approvisionnement en électricité de l’Europe.

Si ce diagramme présente l’intérêt de rendre visibles les principales forces et connexions dans le monde de l’atome, il ne permet pas, en revanche, de définir de manière exacte la force de frappe de la filière nucléaire française. En effet, rien n’indique la qualité et la force des liens indiqués – siéger à un même conseil d’administration qu’un homme politique ne signifie pas pour un technocrate en avoir l’oreille -, ni leur représentativité et ampleur à l’échelle d’une structure – qu’en est-il de la réelle proportion de pro-nucléaires dans les laboratoires de recherche ou formations d’ingénieurs ?

Surtout, les chercheurs, intellectuels et hommes politiques défavorables à l’énergie nucléaire, les dirigeants d’entreprises dans les énergies renouvelables ou les associations écologistes ne sont pas indiqués, ne permettant pas de situer le lobby écolo. Il n’est alors pas possible de comparer le degré de proximité aux strates du pouvoir et le spectre d’influence entre pro- et anti-atome.

Audrey Garric

]]>
http://michelbalbot.eelv-legislatives.fr/facenuke-la-cartographie-du-lobby-nucleaire-francais/feed/ 0