Gilbert SAILLET » Thématiques http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr Candidat EELV-PS de la 3e circonscription de la Haute-Savoie aux législatives Mon, 18 Jun 2012 14:02:39 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.4.2 Gilbert Saillet un citoyen fortement engagé http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/gilbert-saillet-un-citoyen-fortement-engage/ http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/gilbert-saillet-un-citoyen-fortement-engage/#comments Fri, 15 Jun 2012 17:23:11 +0000 Gilbert Saillet http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/?p=1281

Peter Loosli (Verts Suisses) et Gilbert Saillet en conférence de presse à Genève

Gilbert Saillet co-fondateur du mouvement « Non au Gaz de Schistes » , personnalité écologiste de Haute-Savoie s’engage dans la mobilisation contre l’exploitation des gaz de schistes.

 

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DEMOCRATIE http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/democratie/ http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/democratie/#comments Fri, 08 Jun 2012 13:19:40 +0000 Gilbert Saillet http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/?p=1197 Il faut changer :

Le poids excessif d’un Etat centralisateur et autoritaire.

Le fossé entre élus et citoyens (cumuls, corruption, éloignement).

Ce que nous voulons :

Rénover la démocratie : proportionnelle, référendum d’initiative populaire.

Obtenir de réels pouvoirs pour une région proche des citoyens.

Promouvoir une Europe plus démocratique et plus fédérale.

 

Gilbert Saillet & Claire Donzel

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SOLIDARITE http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/solidarite/ http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/solidarite/#comments Fri, 08 Jun 2012 13:17:45 +0000 Gilbert Saillet http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/?p=1195 Il faut changer :

Des députés qui ne pensent que « rentabilité »et privatisation ;

Un pays de plus en plus sécuritaire où s’ancrent racisme et extrême droite

Un système qui rend les logements inaccessibles aux jeunes et aux plus démunis

Ce que nous voulons:

Assurer la qualité des soins pour tous.

Limiter la spéculation foncière

Favoriser l’habitat social

Repenser les programmes scolaires

Développer un habitat social et écologique.

Refonder une école de la réussite.

 

Claire Donzel

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Ecologie http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/ecologie/ http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/ecologie/#comments Fri, 08 Jun 2012 13:14:03 +0000 Gilbert Saillet http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/?p=1192

 

Il faut changer :

Une gestion centralisée de l’énergie

Une société qui produit toujours plus sans recycler.

Une pression foncière destructrice de terres agricoles.

Le tout routier générateur de pollutions.

Ce que nous voulons:

Privilégier les ressources locales.

Soutenir l’agriculture de proximité.

Favoriser les bâtiments économes en énergie.

Assurer des moyens de transport en commun attractifs.

Appliquer le principe pollueur/payeur.

 

Gilbert Saillet & Claire Donzel

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Economie http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/economie/ http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/economie/#comments Fri, 08 Jun 2012 13:11:30 +0000 Gilbert Saillet http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/?p=1190 Il faut changer :

Une société de plus en plus injuste : écarts salariaux, privatisation des biens publics

Ce que nous voulons:

Reconstruire un véritable service public.

Développer l’économie non délocalisable

Limiter le pouvoir de la finance, supprimer les paradis fiscaux.

 

Gilbert Saillet & Claire Donzel

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L’université de Savoie a-t-elle encore une chance ? http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/luniversite-de-savoie-a-t-elle-encore-une-chance/ http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/luniversite-de-savoie-a-t-elle-encore-une-chance/#comments Tue, 29 May 2012 23:35:49 +0000 Gilbert Saillet http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/?p=1129

Peut-on encore inverser la vapeur ? Attirée dans un processus de globalisation mis en œuvre par le gouvernement Sarkozy-Fillon, affaiblie par les visées conquérantes de sa voisine grenobloise, projetée dans un projet de fusion à peine voilé mené par son actuel président, la jeune université de Savoie, qui vient juste de souffler en 2009 ses trente bougies, risque bel et bien de disparaître.

Cette université a été crée en 1979, grâce aux efforts opiniâtres et persévérants d’élus et d’universitaires qui voulaient donner à notre territoire ce service public indispensable à son développement et à son émancipation intellectuelle. Écrasée par la sphère d’influence de Lyon, mais surtout de Grenoble, notre université n’a jamais réussi à atteindre sa pleine autonomie. Certaines filières souhaitables pour notre région n’ont jamais pu être ouvertes. Les crédits universitaires apportés par l’État et la région Rhône-Alpes ont toujours été  en grande partie absorbés par les universités grenobloises et lyonnaises sans égard pour la densité de population et de l’éloignement du territoire savoyard.

Néanmoins, l’université de Savoie a su mettre en place d’année et année un certain nombre de services universitaires, reconnus sur le plan régional : l’IUT, les écoles d’ingénieurs et de management, les facultés de lettres, d’histoire, de psychologie, de sciences, de droit et d’économie, l’institut de la montagne ainsi que récemment, l’institut national de l’énergie solaire.

La réforme ahurissante des universités

Depuis ces cinq dernières années, il semble que le ciel tombe sur la tête de l’UdS. Tout d’abord, la réforme dite de “l’autonomie des universités”, mise en place par la ministre Valérie Pécresse, sous la volonté de Nicolas Sarkozy. Cette réforme ahurissante ne s’explique que par la volonté de mettre en œuvre une idéologie ultra-libérale basée sur les bienfaits supposés de la globalisation et la compétition. Placées artificiellement dans une concurrence internationale, les universités françaises devraient se regrouper et constituer des pôles d’excellence pour ravir les premières places du très contesté classement de Shanghai (voir encadré). Dans cette course à l’élitisme, ce sont les petites universités qui en font les frais, et surtout les étudiants, car ce classement n’évalue que la recherche scientifique. Asphyxiées financièrement, plusieurs universités de taille moyenne, dont l’université de Savoie, ont été sur le point d’être mises sous tutelle en fin d’année 2011.

Cette réforme vantée par l’UMP comme une grande réussite du quinquennat de Nicolas Sarkozy est en fait très contestée dans le milieu universitaire. De nombreuses voix d’opposition se sont élevées pour dénoncer cette opération de destruction, comme celle par exemple de Jean-Yves Le Déault, vice-président de l’office parlementaire des choix scientifiques et technologiques : “avoir une stratégie, ce n’est pas se limiter à huit pôles d’excellence en France, dont quatre à Paris”.

Le classement de Shanghaï et ses limites

Il s’agit d’un classement mis en œuvre par des chercheurs de l’université de Jiao-Tong de Shanghai en Chine. Il a pour ambition de discerner chaque année les meilleures universités mondiales. Il s’appuie sur six critères n’évaluant que des aspects de recherche scientifique : par exemple le nombre d’anciens élèves ayant reçu un prix Nobel. Les questions de la qualité de l’enseignement, des relations université-société, l’insertion professionnelle ne sont pas considérées.

Le ministère de l’enseignement français s’est fixé pour objectif d’avoir des universités mieux placés dans ce classement. Pour cela, sa stratégie est de les regrouper, ce qui lui permet d’espérer atteindre un double objectif : améliorer l’excellence des universités retenues tout en faisant des économies par un désengagement financier sur les petites. Au final, on peut se demander ce qu’il restera de la mission de former des étudiants sur l’ensemble du territoire…

En France la première université française au classement de Shanghai 2011 est l’université de Paris XI (Orsay), fortement favorisée par la politique gouvernementale, elle progresse d’année en année, mais n’atteint néanmoins que la 40ème place en 2011. Selon le QS World University ranking, un autre classement tenant compte lui du taux d’encadrement des étudiants et des débouchés professionnels, cette même université ne se situe qu’à la 208ème place !

Quant à la première université mondiale, Harvard (n°1 au classement de Shanghai, n°2 au QS), il s’agit d’une structure d’élite, de taille moyenne (20 000 étudiants) et dont le coût par étudiant est estimé à 50 000$ par an en moyenne !

Source : http://regionsavoie.org/savoie/233-dossier-luniversite-de-savoie-a-t-elle-encore-une-chancen.html


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La remunicipalisation de l’eau http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/la-remunicipalisation-de-leau/ http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/la-remunicipalisation-de-leau/#comments Thu, 24 May 2012 12:59:11 +0000 Gilbert Saillet http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/?p=1058  

Par Jacques Cambon

Service public de l’eau : modalités de gestion

Les services de l’eau et de l’assainissement sont de la responsabilité des communes.
Elles peuvent opter pour:

  • La gestion directe (ou régie) :

Régie directe : service municipal
Régie autonome : service municipal avec autonomie financière
Les régies peuvent sous-traiter des activités selon le code des marchés publics

  • La gestion intermédiaire :

Gérance : le délégataire assure la gestion et l’entretien pour une
rémunération forfaitaire
Régie intéressée : le délégataire assure la gestion et l’entretien pour une
rémunération forfaitaire + un intéressement au résultat

  • La Société Publique Locale :

Société de droit privé appartenant à 100% à la Collectivité
La SPL peut sous-traiter des activités hors code des marchés publics

Retour du service public de l’eau en régie communale : pourquoi ?

C’est un service vital qui doit être garanti à chacun quels que soient ses revenus, la délégation au privé coûte cher car il faut bien rémunérer les actionnaires*, La gestion privée fait perdre à la commune la maitrise de la situation et les compétences permettant de contrôler effectivement le délégataire, la gestion privée privilégie le profit à court terme au détriment des dépenses d’entretien, préférant attendre une dégradation complète des équipements (qui seront alors renouvelés aux frais de la commune) au lieu d’assurer une maintenance régulière (à la charge du délégataire privé), les gestionnaires privés privilégient le plus souvent les solutions techniques les plus couteuses en investissement (vendues par leurs filiales et à la charge de la commune) par rapport aux solutions de prévention (plus couteuses en exploitation) la gestion privée est basée sur la croissance du profit et donc la croissance de la consommation d’une ressource de plus en plus rares. Seule la gestion publique peut assurer des tarifications « non marchandes », comme une tarification de l’eau par tranches : 1ere tranche gratuite ou presque, tranches suivantes fortement progressives pour économiser la ressource…
Seule la gestion publique peut associer les usagers à la gestion des services municipaux.

* Prix de vente de l’eau (hors assainissement et hors taxes) pour une consommation
standard de 120 m3/an, abonnement compteur compris en 2011 :
1,75 €/m3
• CERF (Veolia):
1,42 €/m3
• Syndicat des Rocailles (Régie) :
• Agglomération d’Annemasse (Régie) : 1,25 €/m3

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La société que j’aime, c’est celle de l’égalité http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/claire-donzel-la-societe-ecologique-que-jaime-cest-celle-de-legalite/ http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/claire-donzel-la-societe-ecologique-que-jaime-cest-celle-de-legalite/#comments Fri, 18 May 2012 11:12:46 +0000 Gilbert Saillet http://gilbertsaillet.eelv-legislatives.fr/?p=978

  • Photo : Olivier Durand

Les Hommes naissent libres et égaux. Même les femmes. Ah bon ?
Parce que, même dans notre pays, les femmes subissent la « règle des 80″ :
- elles sont chefs de famille de 80% des familles vivant en dessous du seuil de pauvreté.
- elles représentent 80% des temps partiels, le plus souvent subis
- elles assurent encore, opérant une double journée, 80% des tâches ménagères et familiales
On y ajoutera que, bien que plus diplômées, leur salaire est en moyenne inférieur de 27% à celui des hommes, et que leur retraite moyenne frôle péniblement les 800€ ( 1300 € pour les hommes).

Une société juste, c’est une société ou hommes et femmes partagent à égalité le travail, les revenus, les soucis et les joies de la famille. Une société où leur santé et leur fécondité/contraception sont protégées, leur place dans la société équilibrée.

La société que veut la gauche unie est celle-ci. Celle où les entreprises vertueuses en matière de gestion égalitaire des revenus et emplois sont favorisées, et sanctionnés celles qui jouent avec la précarité. Celle où la contraception est libre et gratuite. Celle où les scrutins proportionnels sont généralisés, améliorant la parité. Celle où les victimes de violence familiale sont rétablies dans leurs droits et leurs bourreaux écartés.

C’est cela, aussi, une société écologique.

Claire Donzel

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