Le 8 mars : une journée majeure pour les droits des femmes.

La journée internationale des femmes apparaît en 1977 à l’initiative de l’ONU, pour rendre hommage à l’esprit des suffragettes anglaises qui, à l’époque, se battaient pour avoir des droits civiques.

Cette journée est l’occasion de dresser un bilan sur la situation des femmes dans le monde, de se fixer de nouveaux objectifs mais c’est également un temps pour constater les progrès qui ont eu lieu au cours de l’année.

L’ONU définit un thème pour chaque journée, cette année il s‘agit de l’appel vibrant lancé par ONU Femmes dans le cadre de sa campagne Beijing+20 : « Autonomisation des femmes – Autonomisation de l’humanité : Imaginez ! »

L’autonomie des femmes est possible grâce à l’égalité des femmes et des hommes, qui est un droit fondamental.

Ce droit doit être mis en œuvre par les exécutifs locaux, dans tous les domaines où s’exercent leurs responsabilités. Une participation équilibrée des femmes et des  hommes  à la prise de décisions, est un préalable à la société démocratique. La récente réforme concernant les élections départementales imposant la parité a permis un premier pas en ce sens.

Les autorités locales doivent travailler à l’élimination des obstacles, sur lesquels se fondent les inégalités du statut et de la condition des femmes.

Grâce à un travail d’évaluation que nous encouragerons au niveau départemental, les femmes et les hommes pourront exercer au même titre, un même rôle en matière politique, sociale et culturelle. Nous veillerons également à pointer les inégalités de salaires qui sont intolérables : aujourd’hui les écarts de rémunération entre un homme et une femme, tous deux cadres, peuvent atteindre 12,5 %, d’après une étude de l’Apec.

L’accès à la contraception et à l’IVG pour les femmes reste, encore aujourd’hui, un combat et nous voulons agir en en améliorant l’accès à l’information dans les collèges.

Nous souhaitons également nous engager au niveau départemental sur le problème de la violence conjugale :

Aujourd’hui, en France, 1 femme sur 10, déclare avoir subi des violences conjugales. Souvent les victimes n’osent pas en parler, cette violence ayant lieu au sein du couple : le partenaire exerce dans le cadre d’une relation privilégiée, une domination qui s’exprime par des agressions physiques, psychologiques, sexuelles, économiques, spirituelles.

Il existe de nombreuses solutions pour protéger ces femmes et nous proposons de renforcer la prise en charge des femmes victimes de violences, lorsqu’elles le souhaitent, en créant des logements-relais départementaux. En développant la coordination des lieux d’accueil, nous voulons garantir une protection à ces femmes qui ont besoin d’aide.

Nelly Le Pennec & Charlotte Martinon-Uro

Les candidat-es ont répondu-es à l’association ECVF, Elu-e-s contre les violences faites aux femmes :

Par un courrier du 8 janvier, vous désiriez sensibiliser les candidates et les candidats aux élections départementales de 2015 et les engager contre les violences faites aux femmes en inscrivant cette question de manière transversale dans leur programme.

Vous rappelez très justement que la loi du 27 janvier 2014 désigne le département comme « chef de file » en matière d’aide sociale, d’autonomie des personnes et de solidarité des territoires.

Nous, candidates et candidats sur le canton de Saint Jean-le-Blanc dans le Loiret pour les partis PRG, PS et EELV, désirons nous engager sur ce sujet.

C’est pourquoi figurent dans notre programme ces points :
Lutter en faveur de l’égalité femme-homme et contre les discriminations liées à l’orientation sexuelle, contre le racisme et toute forme de haine.
Il existe de nombreuses solutions pour protéger ces femmes et nous proposons de renforcer la prise en charge des femmes victimes de violences, lorsqu’elles le souhaitent, en créant des logements-relais départementaux. En développant la coordination des lieux d’accueil, nous voulons garantir une protection à ces femmes qui ont besoin d’aide.
Sur notre site de campagne (http://plus-solidaires.fr) paraîtra ce samedi un texte rappelant l’historique du combat pour l’égalité femme-homme, la nécessité des engagements et nos propositions.

   
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Nelly Le Pennec, 59 ans, mère de famille et jeune grand-mère, Nelly est infirmière au CHU d’Orléans. Bénévole au sein du Secours Populaire et militante des Droits de l’Enfant, elle fut présente pour le PRG sur la liste de Jean-Pierre SUEUR aux élections municipales de 2008 à Orléans, ainsi que candidate remplaçante de Jean-Sébastien Herpin en 2011 sur le canton de Saint Jean-Le-Blanc. Au sein d’une association de jardin, Nelly privilégie la convivialité dans la vie quotidienne. Afin de mieux répondre aux attentes des citoyens, Nelly se veut au plus près de toutes et tous, solidaire, pour un département plus fraternel. Nelly Le Pennec est candidate titulaire sur ce canton de Saint Jean-Le-Blanc.

Jean-Sébastien Herpin, 47 ans, est très attaché au canton de Saint-Jean le Blanc pour y avoir passé son enfance et effectué sa scolarité. D’un point de vue professionnel, Jean-Sébastien est ingénieur de développement informatique. Il fut candidat en 2001 aux Municipales de Saint-Jean le Blanc aux côtés de Jeannine PINAULT, candidat aux Régionales en 2010, sur la liste Europe Écologie, et enfin représenta EELV, le PS et le PRG à la cantonale de 2011 sur le canton de Saint Jean-le-Blanc. Il est actuellement co-secrétaire régional d'EELV Centre, il est prêt à se consacrer à cet unique mandat en désirant allier la solidarité collective à la préservation de notre environnement de vie. Jean-Sébastien Herpin est candidat titulaire sur ce canton de Saint Jean-Le-Blanc.

Charlotte Martinon-Uro (suppléante), 22 ans, étudiante, en couple, militante au MJS et au PS. Charlotte a commencé à s’engager très tôt à travers le conseil municipal des enfants de la ville où elle habitait. Si elle se présente comme suppléante pour les élections départementales pour soutenir Nelly Le Pennec et Jean-Sébastien Herpin, c’est parce qu’ensemble nous portons des valeurs communes et un projet solidaire sur le canton de Saint Jean Le Blanc.

Francis Langé (suppléant) 49ans, artisan-commerçant, célibataire. Il a toujours  été engagé dans des associations afin de défendre et de promouvoir les artisans et petits commerçants. Francis a un sens du respect des personnes et de la nature. Il souhaite participer à l'amélioration de la qualité de vie pour les habitants de ce canton.

 
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