Seconde gare TGV : ce que les juges n’ont pu suspendre cette semaine, les électeurs peuvent l’arrêter par leur vote dimanche !

L’information est confirmée.

Aujourd’hui, vendredi 20 mars, le Tribunal Administratif de Montpellier annoncera le rejet du premier référé suspension déposé par le collectif d’associations contre le projet de seconde gare TGV de la Mogère.

Première étape d’un long marathon judiciaire.

A ce stade, le Tribunal Administratif ne s’est prononcé que sur des questions de procédure. Car, rappelons-le, si le projet de SNCF Réseau n’est pas suspendu dans l’immédiat, il demeure sous le coup d’un recours en annulation sur le fond.

Après ce référé sur la procédure, il faudra donc s’en remettre au jugement sur le projet lui-même. Prochaine étape du combat judiciaire à venir.

On peut compter sur la rigueur et la pugnacité du collectif pour mener ce combat efficacement, dans l’intérêt des Montpelliérains et des Héraultais.

Mais le temps de la démocratie n’est pas le temps de la justice administrative.

Plus que jamais, c’est aux citoyens de s’emparer de ce dossier !

Lors de l’audience publique, mardi 17 mars, les avocats de SNCF Réseau (ex-RFF) ont confirmé ce que les écologistes répètent depuis des mois : « le projet de gare TGV de la Mogère n’est pas irréversible ».

Ils ont admis également que le groupe Icade, l’opérateur désigné pour construire la gare, n’a pas encore déposé de demande de permis de construire ni aucune demande d’autorisation administrative.

Rien n’est encore engagé !

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Sans attendre le terme des procédures judiciaires, les citoyens ont l’occasion, dès ce dimanche 22 mars, lors des élections départementales, de s’exprimer dans les urnes pour dire stop à ce grand projet inutile et imposé.

Stop car ce que la justice ne peut pas suspendre dans l’immédiat, la démocratie peut l’arrêter de manière ferme. Et les collectivités ont, dans ce dossier, toutes les cartes en main pour éviter ce grand gaspillage d’argent public.

Stop car l’argent public qui sera ainsi épargné pourra servir plus utilement le territoire et ses habitants ; à commencer par les politiques sociales dont les compétences départementales vont échoir prochainement à la métropole. Tout se tient !

Pour dire stop à la seconde gare TGV, pour épargner 200 millions d’euros et réinvestir les politiques publiques dont les Montpelliérains et les Héraultais ont vraiment besoin, un seul vote utile le 22 mars : le vote écologiste.

L’ensemble des candidat-es écologistes de Montpellier, les députés écologistes du Languedoc Roussillon

Manu Reynaud, Coralie Mantion, Nadja Flank, Alain Bourbouze, candidat-es sur le canton de Montpellier 3
Christian Dupraz, Clothilde Ollier, candidat-es sur le canton de Saint Gély
Nicolas Dubourg, candidat sur le canton de Montpellier 2
Monique Chaibi, Pierre-Henri Esculier, candidat-es sur le canton de Montpellier 4
Régine Barthélémy, Jérémy Iordanoff, candidat-es sur le canton de Montpellier 5

Jean-Louis Roumégas, député de l’Hérault
Christophe Cavard, député du Gard

   
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Slogan votez pour le climat

Manu Reynaud 40 ans, cogérant d’une société informatique Coralie Mantion 35 ans, architecte

Nadja Flank 44 ans, attachée territoriale
Alain Bourbouze, 74 ans, ingénieur agronome, professeur émérite

jose

Votez pour dire Stop à la gare de la Mogère

les documents officiels

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