Le bon choix pour l’élection en Ardèche!

Départementales, quels choix se dessinent pour l’élection en Ardèche ?

Un premier, résolument à gauche; un autre, libéral et inégalitaire, qui va de la politique du moins pire menée par le parti socialiste, jusqu’aux politiques dures de droite ou l’inacceptable de l’extrême droite rompant résolument avec les principes de la solidarité.

La France et son gouvernement libéral, dirigent sous l’influence, voire sous la dépendance de lobbies puissants comme ceux du nucléaire, du pétrole et du gaz de schiste, des milieux financiers, de la chimie ou du médicament et j’en passe. Ces lobbies ne se soucient pas que les campagnes se vident, que l’emploi se fasse rare, que la précarité s’installe, que les solidarités disparaissent, que l’environnement et la qualité de la vie se dégradent.

Ce régime injuste est destructeur, ne laissons pas le pouvoir aux représentants des lobbies.

On ne défend pas l’Ardèche en soutenant un gouvernement qui abandonne le monde rural, qui supprime les services publics essentiels, qui diminue le nombre de classes, qui ne partage pas le travail, qui n’assure pas la solidarité avec les plus précaires, qui n’assume pas la sécurité des centrales nucléaires.

Il n’y a pas de fatalité. Une politique, résolument à gauche et écologique, créera des territoires où il fait « mieux vivre » pour tous, et surtout pour ceux d’entre nous, de plus en plus nombreux qui connaissent des difficultés : chômage, précarité, isolement, accès au logement, aux loisirs, …

Avec 1 600 agents et un budget de 400 millions d’euros, le conseil départemental agit pour tous les habitants de l’Ardèche, nous sommes donc tous concernés, et invités à voter le 22 mars.

Je suis engagé depuis longtemps à démontrer les dangers d’une économie qui ne tient pas compte de la nature, de notre santé, mais surtout de la dignité des citoyens.

J’ai souhaité pour ces élections départementales et avec de nombreux amis citoyens participer à une nouvelle démarche de rassemblement  « La Gauche, citoyenne, sociale et écologiste » pour mettre en valeur les trésors d’ingéniosité des citoyens pour le développement durable, la solidarité, le partage, les services publics. Conduire une vraie politique de gauche en donnant toute sa part à la participation citoyenne et à la transition écologique fera de l’Ardèche un département pilote en matière de citoyenneté, de solidarité et de protection de l’environnement.

Je vous invite à résister mais aussi à être capables, résolus et réalistes en participant avec les citoyens à la gestion des affaires publiques.

Christian Moyersoen

   
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Réunions publiques

Rosières - Vendredi 27 février à 18H30
Salle Polyvalente

Beaumont - Vendredi 6 mars à 18H30
Salle communale ( au chef lieu, à côté de la mairie)

Saint-Paul-le-Jeune - Jeudi 12 mars à 18H30
Salle polyvalente

Chandolas - Mercredi 18 mars à 20H30
Participation à la réunion citoyenne : débat avec les autres candidats

Les Vans - Jeudi 19 mars à 18H30
Grande réunion publique de fin de campagne

Carole Chave, 44 ans, originaire des Bouches- du-Rhône où elle a grandi, étudié et travaillé, vit à Banne. Elle est journaliste à La Marseillaise, un quotidien régional progressiste indépendant diffusé en Paca et Languedoc-Roussillon. Militante du Parti communiste français et du SNJCGT, elle est à l’initiative de collectifs luttant pour le développement des services publics. Elle est également engagée pour les droits et l’émancipation de l’Homme et de l’Enfant, le social, l’emploi, l’orientation et la formation. Dans le cadre de son activité professionnelle, elle traite plus particulière- ment des dossiers afférents au tissu associatif, à l’économie, la politique mais encore le tourisme, les loisirs et la culture.
"Je m’engage dans ce rassemblement citoyen, social et écologiste car c’est en son sein que je trouve le prolongement des combats que je mène au quotidien. »

Christian Moyersoen, ingénieur-agricole, 62 ans, est éleveur à St André Lachamp et affineur de Picodons. Elu local de 2001 à 2014, il a soutenu, la création d’emplois liés aux productions et savoir-faire locaux, pastoralisme, vins, olives et châtaignes, ... liés également à l’accueil touristique qualifié sur notre magnifique terroir et au commerce local. Actif dans ses missions au Pays et comme président du Leader du Parc, c’est un militant engagé, défenseur des services de proximité. En 2010, il alertait sur les gaz de schistes et poursuit la lutte avec les collectifs pour la transition énergétique sans nucléaire.
« Redonner de l’espoir à tous dans un modèle nouveau et rompre avec le modèle actuel de compétition et d’argent »

Mireille Cohen-Addet, native de Joyeuse, 68 ans, mère de 2 enfants, Alice et Pierre, et grand-mère d’une petite Camille, est domiciliée à Rosières. Après un passage à l'internat du Lycée Alain Borne à Montélimar, établissement pilote où elle a appris la vie associative et culturelle et des études supérieures à Aix-en-Provence, elle a travaillé 40 ans à Marseille notamment dans le secteur de l'économie sociale et solidaire comme chargée de communication à la Mutualité Française. Ayant réussi le concours national, elle a intégré l’ANPE en 1993. Douze ans plus tard, elle a pu réaliser son rêve : Retrouver l’Ardèche si chère à son cœur en obtenant sa mutation à Aubenas où elle s’est impliquée sans relâche dans la vie syndicale, associative et politique. Aujourd’hui, retraitée du ministère du travail et de l'emploi, elle n’en est pas moins active et impliquée.
 « J’ai eu la chance de grandir librement dans cette belle nature, riche d'aventures, je m’engage afin de la préserver et d’assurer son développement »

Alain Gibert, 64 ans, paysan à Rocles, élevage et écotourisme, depuis 1981, est un militant associatif de la première heure, écologiste, antinucléaire, favorable aux énergies renouvelables, défenseur du foncier agricole et pour l’installation des jeunes. Élu maire depuis 2008 et Vice- président du Parc, son engagement sur le développement local n’est plus à démontrer. Ses discours sur la transition énergétique et sur l’agriculture biologique ont été convertis en réalités, que ce soit comme citoyen ou comme élu. Le foncier, le patrimoine et la biodiversité sont des biens communs qu’il entend préserver pour les générations futures.
« Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait »