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l’Assemblée nationale a voté l’interdiction des néonicotinoïdes

C’est une grande victoire pour l’environnement, pour les insectes pollinisateurs, et pour l’avenir de l’agriculture et des cultures : l’Assemblée nationale a voté l’interdiction des néonicotinoïdes en janvier 2016, contre l’avis du gouvernement et contre l’avis de la ministre de l’écologie.
Ces insecticides, « neurotoxiques de 500 à 10.000 fois plus que le DDT, qui est interdit », sont responsables de la disparition des abeilles et de nombreux insectes et papillons.

In tiers de notre alimentation, fruits et légumes, est menacé de disparaître si les abeilles et autres insectes pollinisateurs disparaissaient. Il était urgent d’arrêter cette hécatombe, et l’Assemblée a réalisé un pas de géant pour la sauvegarde de la nature et de nos cultures.

C’est au Sénat désormais de se prononcer sur cet amendement. Les sénateurs avaient déjà dû se prononcer sur un projet de résolution visant à obtenir un moratoire européen sur l’ensemble des pesticides néonicotinoïdes.
248 sénateurs s’étaient exprimés contre cette proposition, seulement 64 sénateurs s’étaient prononcés pour.
Le débat parlementaire risque d’être de nouveau rude. Il décidera de la survie des abeilles, ou de l’extinction d’un grand nombre d’espèces, et de notre mode d’alimentation.

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les députés ont adopté le dernier volet de la loi NOTRe

democratieDernière minute : les députés ont adopté le dernier volet de la loi NOTRe le mardi 10 mars 2015.

Ce dernier volet renforce les compétences des intercommunalités, avec un schéma de mutualisation des services entre communes et communautés, des compétences eau et assainissement obligatoires fin 2017, l’attribution obligatoire de la gestion des déchets des ménages et assimilés, et la suppression des syndicats intercommunaux qui interviennent exclusivement sur le périmètre d’une intercommunalité.
A ce titre, les délégués des communes siégeant au sein d’un comité syndical ne pourront plus percevoir d’indemnités, ces fonctions devenant bénévoles.

Au niveau des départements, la clause de compétence générale est supprimée. Les régions se voient supprimer également cette clause de compétence générale.
Si les départements ne pourront plus apporter d’aides aux entreprises, ils pourront continuer d’accompagner les filières agricoles locales et participer au service public de l’emploi.
Les départements conservent la gestion des collèges et la voirie, mais perdent les transports interurbains et les transports scolaires au profit des régions. Seuls restent le transport spécial des élèves handicapés.

Ce seront désormais les régions qui seront opérateurs sur le développement économique, le transport, les ports, le tourisme, l’accès au logement, et toutes les compétences qui leurs étaient dévolues.

Il était temps, à seulement 12 jours des élections, de voir ces points éclaircis.

Il faut néanmoins, avec la connaissance du terrain et l’expérience et l’expertise d’usage des citoyens sur le terrain, que les départements fassent entendre leurs revendications aux régions pour ne pas léser les Eurois-es, sur tout les sujets de leur quotidien.
Une compétence qui sera certes bénévole, mais indispensable dorénavant pour défendre l’intérêt général.

Un petit pas en arrière pour le département, et peut-être un pas en avant pour la collectivité, à condition que les citoyen-nes soient impliqué-es dans les débats et les décisions.

Un réseau de transport public digne du 21ème siècle

Le réseau de transport public doit répondre aux besoins de mobilité tout en répondant aux engagements environnementaux.

  • autocar

    Les arrêts doivent être proches des besoins des utilisateurs.

    Pour encourager les personnes à mobilité réduite, handicapés et personnes âgées ainsi que les jeunes parents avec enfants et bagages à prendre les transports publics, une attention particulière sera portée sur les aménagements.
    L’accès aux gares et têtes de ligne de transport public doit être facilité en créant des parkings relais et des parcours sécurisés pour les vélos et piétons. Autorisons le transport des vélos dans les soutes.
    Et, rappelons-le, il faut disposer d’abribus, pour qu’il soit possible et agréable d’utiliser le service même lors d’intempéries.

  • L’amplitude horaire du service.

    L’amplitude du matin au soir devra être large de façon à ne pas provoquer la trop fréquente inquiétude du « dernier bus de la soirée ».
    De 6 heures à minuit, l’activité humaine est constante. Les transports publics de proximité doivent être en mesure de répondre aux besoins de déplacements.
    La fermeture de services après 18 heures ne correspond pas aux besoins nouveaux de déplacements contraints pour les employés, ni aux besoins des entreprises.
    Les déplacements de fin de semaine, notamment pour le week-end doivent être assurés et permettre à tous un véritable accès aux offres culturelles et sportives.

  • La mise en place d’un cadencement horaire sur la journée d’activité.

    L’usager ne doit pas être contraint de compulser une problématique fiche horaire non mémorisable.
    Le service doit être régulièrement réparti pendant la journée. La mise en œuvre d’un véritable cadencement est souhaitable.
    Les services sujets à variantes, les horaires saisonniers, parfaitement déroutants pour l’usager sont à proscrire.

  • Les correspondances.

    La correspondance entre les horaires des trains, des cars et des bus doit être effective.
    Les pôles de correspondance seront généralisés entre les arrêts de trains et les arrêts de bus et les déplacements en mode doux. Cela se traduira notamment par des aménagements d’accessibilité, de confort et de sécurité pour tous les publics

  • La tarification.

    La seule chose positive actuellement, c’est un tarif très faible pour l’usager. Mais cela montre aussi qu’il ne suffit pas de proposer des tarifs attractifs pour que ça marche, il faut proposer un service dont le niveau de qualité permette de rivaliser avec la voiture.
    Au-delà des nécessaires tarifs sociaux, les fortes réductions tarifaires doivent être orientées sur les abonnements de manière à fidéliser les usagers.

  • Le citoyen, usager, doit être informé.

    Pour utiliser un service, encore faut-il le connaître.
    Commençons par informer, promouvons les horaires, l’accueil des usagers, offrons de la « visibilité » de ce service public inconnu du grand public.
    Affichons les horaires d’autocar à jour sur les arrêts, et dans les gares lorsqu’ils ne sont pas concurrents du train, mais complémentaires.
    Nous sommes porteurs de projets d’utilité publique ambitieux, nécessaires et à réaliser dans les plus brefs délais.

  • train

    Remise en service de la ligne de chemin de fer Rouen Evreux via Val-de-Reuil et Louviers.

    Bien que ce projet soit de compétence régionale, le département a son mot à dire.
    Évreux est sans doute la seule sinon l’une des rares capitales départementales à ne pas être connecté à sa capitale régionale Rouen.
    Le projet de liaison TER a été enterré par un utopique et couteux projet de ligne nouvelle à grande vitesse qui ne répond pas aux besoins du quotidien.
    Cette liaison a de plus été victime de l’hostilité au chemin de fer de la part de certaines autorités locales de la vallée de l’Iton, or il est possible de ne pas desservir cette vallée par un tracé par ailleurs plus direct.
    Le bassin de vie qui nous concerne est remarquable (Pont-de-l’Arche-Alisay, Val-de-Reuil, Louviers, Acquigny, Gravigny).
    Le potentiel de déplacement est considérable. Nombre de trajets journaliers : 7 200 Rouen, Val-de-Reuil, Louviers, à comparer aux 5 000 trajets quotidiens Rouen-Paris.
    Nous avons le devoir de relancer l’étude de ce projet sur des bases nouvelles, en adaptant le tracé aux besoins du public et en s’ouvrant aux nouveaux choix technologiques, trains ou tram-train.

  • Remise en service de la ligne de chemin de fer Pont-de-L’arche Etrépagny via Romilly, Pont-St-Pierre, Fleury sur Andelle et Charleval.

    Sans ignorer la compétence régionale concernant ce projet, nous devons être force de proposition.
    Il est nécessaire de commencer enfin à étudier sérieusement l’usage que l’on peut faire de l’emprise ferroviaire existante avant d’être mis devant le fait accompli de sa disparition en vertu de la lamentable politique fret menée conjointement par l’État et SNCF.
    Donner à la population de la vallée de l’Andelle le service de transport public dont elle a besoin afin relier correctement son bassin de vie à ses proches voisins et à Rouen et Evreux n’est plus pour nous, une utopie.

Liberté, égalité, mobilité

Liberté, égalité, mobilité

La majorité des déplacements est subordonnée à l’usage de l’automobile.

Nous ne pouvons pas nous contenter d’un service public à minima qui ne s’adresse qu’à une clientèle captive, « privée d’automobile ».

La préoccupation essentielle des décideurs politiques se limite au trajet domicile travail.
Les transports scolaires, constitués en organisation spéciale ne donnent pas satisfaction.
Les autres usagers, dont les retraités, sont ignorés.

Les conseillers Généraux actuels sous-estiment majoritairement le besoin par ignorance du terrain. Certains d’entre eux pratiquent l’indifférence ou expliquent d’autres priorités budgétaires, quand ce n’est pas le Président qui est farouchement hostile à certains projets de réouvertures ferroviaires

  • Il faut améliorer la qualité désastreuse du service public de transport par autocar.
    Les autocars sont inadaptés, d’accès difficile, au confort précaire, parfois même sans boutons poussoirs d’arrêt, et l’autoradio est imposé.
    Les temps de parcours ne sont pas du tout compétitifs et doivent être réduits.
    L’accueil des usagers doit être revu : les abribus sont trop rares, et le horaires à jour doivent figurer sur chaque arrêt.
  • Il ne faut pas concurrencer les lignes ferroviaires existantes. Le département peut desservir les points d’arrêts ferroviaires et offrir des correspondances avec les trains. Hormis à Evreux, les cars ne desservent pas les gares et les horaires ne sont pas organisés pour les correspondances. Et même à Evreux, il n’y a pas de communication avec la SNCF en cas de retard d’un train en correspondance.
  • Peut-on continuer à maltraiter les usagers ?
    Dans les cars, les jours où il y a « trop d’usagers », dès que toutes les places assises sont prises, ceux qui n’ont pas joué des coudes restent sur le trottoir et attendent le prochain car…. 4 heures plus tard, ou jamais si c’est le dernier de la soirée.
    Dans les trains, dans l’Eure, les usagers sont assis, souvent par terre, faute de matériel roulant et de trains trop petits. Et les horaires des cars et des trains ne correspondent pas.
  • Il faut réfléchir à la tarification. Une tarification commune pour les abonnés TER d’abord. Et, ensuite, si la carte atoumod, est une avancée, il faut lier atoumod et navigo pour tous les usagers qui se rendent quotidiennement à Paris, qui paient autant pour aller de Vernon à Bonnières (10,5 km) que pour aller de Bonnières à Paris avec Navigo.

Si on ne veut attirer que les captifs (scolaires, citoyens précaires marginalisés et quelques inconditionnels), continuons comme cela est fait. Ou plutôt n’est pas – ou mal – fait.
les Autorités Organisatrices de Transports (Les AOT sont l’État, la Région, le département et les agglomérations) doivent promouvoir les transports publics, c’est un choix de société. C’est évidement le nôtre.
Nous exigeons de mettre définitivement fin aux projets locaux d’infrastructures autoroutières privées dont le coût pharaonique tiré de nos finances publiques nous prive des beaucoup plus modestes moyens nécessaires au financement des transports de la vie quotidienne.

Parce que l’usager c’est vous, nous proposons de mettre à votre disposition un service de transports publics régulier répondant à la majorité de vos besoins : trajet domicile-travail, courses, magasins, visite médicale, transport scolaire, universités, visite familiale, loisirs, spectacles…
Une véritable entente entre les autorités départementales, régionales et locales est nécessaire. Nous y veillerons.

Votre mobilité avec les transports publics, plus adaptés, plus efficaces, plus économiques, plus écologiques, ici et maintenant.

L’eau, une ressource à préserver maintenant

Notre ressource en eau, qu’elle soit souterraine ou de surface, est dégradée.

Malgré les différentes lois qui nous demandent de réagir, le retard pris dans notre département nous oblige à être audacieux.
Nous savons déjà que le changement climatique aura des conséquences sur notre territoire : les variations de pluviométrie soit favoriseront le ruissellement dans le cas d’épisodes pluvieux violents, ou bien, dans le cas de sécheresse prononcée, baisseront le niveau de nos nappes et l’étiage de nos rivières.

Dans l’Eure le coût du m3 est de plus ou moins 4 €. Le département a les compétences pour agir pour la préservation de la ressource. Il peut aussi aider les consommateurs à utiliser moins d’eau , pour que la facture des consommateurs responsables n’augmente plus.

Quelles actions le département peut-il mettre en place ?

Pour les collectivités :

  • Créer une société publique locale d’ingénierie.
    Cette structure permettrait aux collectivités de réaliser des audits indépendants pour comparer les actions d’une délégation de service publique et une régie. Elle assurera l’aide technique et financière nécessaire en faisant des économies d’échelle aux collectivités qui feront le choix d’un retour à une gestion en régie publique.
  • devant la rareté de l’argent public, limiter les aides aux seules collectivités qui font le choix de la gestion en régie publique. De cette façon le conseil général exprimera clairement que pour lui l’eau n’est pas une marchandise en arrêtant de subventionner de façon indirecte les grandes multinationales de l’eau.
  • finir les plans de récupération des eaux pluviales, et organiser après étude la mise en place de point d’infiltration dans les sols de cette eau ;
  • lancer une politique novatrice sur l’utilisation des produits phytosanitaires en ayant un territoire « qui dit non aux pesticides et herbicides » ;
  • faire un appel à projet pour aider les collectivités qui s’engagent dans la démarche « 0 phyto » ;
  • lancer le concours du plus beau jardin de l’Eure sans phytosanitaire.

Pour les particuliers :

  • Aider à la mise en place de la récupération de l’eau de pluie ;
  • aide à l’achat de réducteur de pression d’eau individuel

Pour l’assainissement non collectif, nous devons sortir de la vision de la fosse toutes eaux, et promouvoir les innovations comme le lagunage ou bien la mise en place de système de phytoépuration (on remplace la fosse septique par un jardin d’assainissement).

Pour clairement montrer notre volonté d’agir, il faut créer les maisons de l’eau, où les collectivités comme les particuliers pourront venir s’informer des actions et des aides mises en place pour reconquérir une eau de qualité.

Balade sur nos belles routes de campagne dans l’Eure, « merveilleuses » poubelles à ciel ouvert…

Les beaux jours arrivent, on va mettre le nez dehors et aller se promener sur nos jolies routes de campagne. Elle longent les champs, les bois, les lacs, et les rivières… une véritable aubaine pour les touristes et les citadins en soif de retour à la nature. Sauf que !

Ces petites routes de campagne sont devenues des poubelles, jonchées, mètre après mètre (vraiment, mètre après mètre), pas après pas, de détritus de toutes sortes : plastiques, caoutchouc, verre, métaux, déchets électroniques… Jusqu’à débusquer des décharges au bout des chemins touristiques, ou dans les zones humides, moins fréquentées.

Notre petite balade nous a conduits de Saint-Pierre du Vauvray vers Portejoie, où on trouve des sacs poubelle noirs et autres détritus, puis direction le lac de Poses, réserve naturelle ornithologique et plastique, vers Pont de l’Arche ; ou encore de la déchetterie vers Louviers, en traversant la forêt de Bord, nous avons visité les ornières des routes qui ne sont que monceaux de sacs poubelles (enlevées pour le coup), le sol partout couvert de débris, plastique, alu, verre, déchets alimentaires, qui ne sentent pas précisément la fougère.
Nous avons continué pour trouver le pompon : sur la départementale D313, la route qui va de Louviers au Vaudreuil, longeant la voie de chemin de fer, c’est réellement catastrophique, avec une décharge donnant sur un chemin piétonnier. C’est dégueulasse.

Autant nous sommes contents de voir que les opérations de nettoyage sur les berges, menées par Anne-Marie Ashbrook et l’APURE, et toutes les associations qui participent aux opérations tout au long de la Seine et des rivières, portent leurs fruits (c’est mieux chaque année) ; autant les opérations de nettoyage par les bénévoles qui participent au marathon (avec les enfants, qui nettoient les saletés des adultes) permettent de préserver le parcours du marathon ; autant les villes restent assez propres dans l’ensemble… autant les routes, les chemins, les abords des forêts, lacs et rivières, champs et prairies sont devenues des unités de stockage à ciel ouvert pour les déchets ménagers.

La faute en incombe évidemment aux personnes qui se débarrassent de leurs déchets alors qu’il est possible de le faire par ramassage urbain, ou dans les déchetteries, ou encore dans les bacs de déchets.
Nous payons tous, pour le nettoyage d’abord, par la qualité de vie aussi, avec la dégradation des sols et d’une nature déjà très maltraitée.

Est-ce vraiment dans une nature si poubellisée que nous voulons attirer les touristes ? On pourrait peut-être leur demander de venir avec des sacs jaunes pour ramasser ?

La responsabilité collective est désormais de nettoyer tout ça. Un travail énorme. Ce sont aux collectivités, aux agglos, au département qui gère leur élimination, de le faire, et de s’entendre ensemble pour le faire.

Et puis il faut éviter que cela ne continue. Ça passe par la pédagogie, par la prévention, par l’affichage sur les sites, pour ne pas jeter et expliquer l’intérêt des forêts, zones humides et autres chemins, pour toutes et tous.

La pollution de la nature par les détritus atteint des sommets que l’on n’a jamais connus, il faut tout faire pour y mettre fin. C’est une responsabilité d’élu-es.

L’alternative, c’est l’écologie

Le département c’est la proximité.

Le service public est aux côtés des habitant-es pour remplir tous les jours des missions indispensables dans nos vies quotidiennes.
Oui, nous devons aller vers plus d’efficacité et éviter les doublons, mais en préservant les missions du service public.
La politique d’austérité, les baisses de dotations de l’État aux collectivités locales, mettent en danger l’accomplissement de ces missions.

Au lieu de dépenser des milliards dans des contournements Est de Rouen, ou Ouest d’Évreux, recentrons le département sur les missions fondamentales : lien social, solidarités entre les générations, collèges, protection de l’enfance et bien-être familial, insertion par l’économie.

Améliorer la qualité de vie de tou-te-s, sans oublier personne :

Nous luttons contre les pollutions, qui réduisent l’espérance de vie en bonne santé.
Nous voulons préserver nos paysages, les espaces naturels, la biodiversité.
Nous apportons des solutions pour la mobilité, les fractures sociale, énergétique, géographique, numérique. L’écologie favorise l’accès aux services, aux soins, à la formation, à l’emploi.

Notre département rural ne doit pas être sacrifié à la capitale, ni à la métropole.
Nous ne sommes pas qu’un carrefour logistique, un couloir à camions. Nous ne voulons pas vivre dans des villages-dortoirs.

Créons des circuits courts avec une agriculture locale de qualité.

Nous disposons d’un tissu industriel et commercial de pointe, de PME, d’artisans, nous savons produire localement. Consommons local. Ce sont les emplois de demain.
Transparence et démocratie : face à la défiance des citoyen-nes envers la politique et les institutions, le département peut redonner confiance, en impliquant les habitant-es dans les décisions, en facilitant l’initiative citoyenne et collective.

Pour la première fois, votez pour des écologistes au département.
Voilà l’alternative.

Nous sommes porteurs d’innovation, de solutions créatrices d’emplois locaux, utiles aux hommes et à l’environnement.

Le 22 mars prochain, choisissez l’alternative aux solutions du passé et à l’austérité, votez Europe Ecologie Les Verts !

Départementales 2015 : L’écologie en avant

A l’occasion des élections départementales des 22 et 29 mars prochain, qui se tiendront sur l’ensemble du territoire suite à la réforme territoriale, Europe Ecologie – Les Verts sera présent sur près de la moitié des 2054 cantons renouvelés.

Le niveau de participation des écologistes pour des élections départementales est inédit. C’est la première fois que EE-LV présentera autant de candidat-e-s à ce scrutin.

Des stratégies cohérentes avec les situations locales

Dans plus de 40% des cas, EE-LV participera à des dynamiques écologistes et citoyennes en partenariat avec au moins une force de la Gauche alternative telles que le Parti de Gauche, le Parti Communiste Français, Ensemble ou Nouvelle Donne.

Dans plus du tiers des cantons, EE-LV présentera des candidatures de rassemblement écologistes et citoyennes autonomes de tout autre parti politique.

Dans un peu moins de 17% des cantons, EE-LV présentera des candidatures en accords avec le Parti Socialiste. Principalement en Seine-Saint-Denis, Meurthe et Moselle, le Loiret, la Loire, la Dordogne, la Gironde, les Deux-Sèvres et le Vaucluse.

Notamment dans la Somme, sur un tiers des cantons de l’Essonne, une partie de l’Allier et des Alpes-de-Haute-Provence, EE-LV participera à un rassemblement avec le PS et le PCF.

Ecologie, Citoyenneté, Solidarité

Quelle que soit la stratégie choisie localement, les écologistes développeront lors de cette campagne leurs propositions autour des valeurs citoyennes, écologistes et solidaires. [lire la suite…]